80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
« Il fallait faire payer ces lâches qui s'étaient mis à plusieurs pour lui infliger cette blessure. Oui. Il fallait se venger, mais d'une façon différente. À la façon du chasseur ».
Un soir comme un autre, dans un petit village de coupeurs de bois, au nord de la rivière Gatineau. Une beuverie. Des Blancs s'en prennent à un Algonquin. Lui tranchent la main. Réfugié en forêt, il élabore un plan pour punir ses bourreaux. Puis l'exécute méthodiquement. Il ne peut en être autrement : il s'appelle Minji-mendam, « Celui qui se souvient longtemps ». Inoubliable roman de la dépossession et de la violence raciste, Le Bras coupé est la première fiction écrite en français par un Autochtone du Québec.
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