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Bordeaux, grand port colonial du XVIIIe siècle, rêvait avec nostalgie, à la fin du XIXe siècle, aux années fastueuses où l'Afrique et les Antilles représentaient une source de richesse providentielle. Ville de négociants, de capitaines et de médecins, elle ne rompit jamais le lien avec les colonies.
Avec la constitution de l'empire colonial, Bordeaux se fixe comme objectif, en ce début de XXe siècle, d'être à nouveau « la capitale coloniale de France », en concurrence avec Paris, Marseille et Lyon.
Au coeur de la machine, dès 1850, Bordeaux multiplie les initiatives en faveur de la diffusion d'une « culture coloniale » : grandes expositions et foires sur les Quinconces, avec des pavillons coloniaux, villages nègres et annamites, musée colonial au Jardin public et à La Sauve-Majeure, création d'offices coloniaux, enseignement colonial dans les Facultés...
Aujourd'hui, les fonds artistiques et ethnographiques des musées bordelais et la présence d'importantes collections privées prolongent le souvenir de cette relation contrastée et souvent méconnue. Cet ouvrage est très largement illustré de documents d'époque.
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