80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
La Révolution française a sonné le glas, non seulement d'une forme de société, mais aussi d'une manière de sentir et de vivre ; et il n'est pas sûr que nous ayons gagné au change. Benjamin Constant a été l'un des premiers à dresser ce sombre diagnostic : « Nous ne savons plus aimer, ni croire, ni vouloir. Il en résulte que le Ciel n'offre plus d'espoir, la terre plus de dignité, le coeur plus de refuge. » Mais suffit-il de s'en lamenter ? Constant ne le pense pas et, devenu le premier penser français de la démocratie, il entreprend de chercher des remèdes au mal : une politique qui garantisse la dignité de l'individu sans dissoudre le lien social ; une religion dépouillée de ses formes oppressantes ; un amour retrouvant la place qui lui est due, plus haut que « tous les trônes de la terre ».
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