80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
C'était au début des vacances de Noël, un soir vers vingt et une heures, que mon téléphone me rappela soudain l'existence du monde extérieur. Je venais de déposer « L'Écume des Jours » de Boris Vian, en me demandant ce que j'allais proposer à mes élèves en classe terminale de langues modernes, comme lecture cursive pour le deuxième trimestre.
J'hésitais entre « L'Écume des Jours » de Boris Vian, et « La Mort est mon Métier » de Robert Merle. Si j'optais pour Vian, ce serait un choix poétique, celui du coeur. Si je retenais Merle, ce serait par motivation politique, inspirée par la recrudescence des mouvements néonazis ou négationnistes, ainsi que la montée du racisme et de l'antisémitisme.
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