80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Prisonnière d'un modèle productiviste, fondé sur l'extraction massive de matières premières non renouvelables, l'architecture ne rend plus le monde habitable. Elle participe à la prédation et la destruction des milieux habités. Ces violences systémiques ne peuvent plus être ignorées et la profession doit se réformer. Au-delà de l'injonction à optimiser des ressources naturelles disponibles ou à privilégier des matériaux issus de la biomasse, les architectes ont-ils des obligations morales envers les milieux qu'ils exploitent ? Comment peuvent-ils encore construire sans porter atteinte à l'ensemble des êtres vivants ? Un essai incisif et percutant.
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