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Le roman de François Bon (Auteur, entre autres, de Sortie d'usine parut en 1982 et de roman jeunesse) raconte un fait divers se passant dans les années 70 dans la ville du Mans
L'histoire se déroule devant les assises de la Sarthe 18 mois après les faits.
Un homme, Arne F, ne supportant pas la séparation avec sa femme où elle avait trouvé refuge chez une amie, va rejoindre le Mans depuis Marseille à vélomoteur pour régler ses comptes. Il va poignardé à l'aide d'un tournevis le jeune homme qui se trouvait avec elles. Devant le cadavre, il va prendre en otages ces deux femmes et un homme pendant toute une nuit.
Tout au long du roman, tout les otages ainsi que Arne F; mais aussi l'entourage vont devoir répondre de cette horrible nuit.
François bon qui est originaire du Mans, avait, à la lecture du fait divers parut dans le journal Ouest-France, avait l'idée de développer les quelques lignes écrites sur cette tragédie.
Ce texte à d'abord été écrit à la demande d'un ami réalisateur, Fabrice Cazeneuve afin d'en faire un scénario (un des personnage est un directeur de la photographie). Mais ce texte en deviendra un roman.
Cette histoire qui à pour lieu le tribunal des assises, m'a tenue en haleine jusqu'à la dernière page. Chaque personnage viendra donné sa vision des faits et de détecter l'envie de l'accusé à commettre l'irréparable.
Un bon polar qui fait froid dans le dos.
À B. (Berlin ?) dans une Allemagne coupée en deux par le rideau de fer, Jacques Barbin, scénariste et son ami Andréas, metteur en scène, ont en vue un projet de film avec dans le rôle principal une célèbre actrice blonde venue de l'Est dont la participation devrait contribuer à son succès. Ils partent faire des repérages dans un village abandonné des Cévennes. Ils y rencontrent un homme qui y a autrefois implanté un refuge un peu particulier pour chiens abandonnés. Le lieu obtint un tel succès que l’homme ne sachant plus que faire de tous les animaux qu’on lui apportait commença à en trucider quelques-uns et à les donner en pâture aux autres. Et quand il abandonna les lieux, tous les chiens restants s’organisèrent en meute et commencèrent à attaquer les troupeaux de moutons et même quelques touristes égarés…
« Calvaire des chiens » se présente comme un roman difficilement classable. Ni thriller, ni roman noir, ni roman social, mais quelque chose un peu entre tout ça et encore. Même chose pour l’intrigue : pas vraiment d’histoire construite et qui se tienne, mais plutôt une suite de descriptions verbeuses, disparates, sans suite, sans logique et sans chronologie. Difficile de se retrouver dans ce fatras littéraire. Et guère de plaisir de lecture non plus en raison d’un style filandreux, de phrases à rallonge, agglutinantes et (volontairement ?) mal construites. Dans le style particulier de François Bon, le lecteur averti sentira fortement les désagréables relents du soi-disant « nouveau roman », genre narratif qui a fort mal vieilli et n’a été à la mode qu’un temps relativement court. N’est pas Robbe-Grillet qui veut…
Mon premier François Bon lu grâce à ma prof de fac préférée, Anne Roche, qui l'avait mis au programme de licence. Pas déçue du voyage, et des ateliers d'écriture et de ceux qui y participent, avec leurs fêlures ou blessures, peut-être déjà me dire que ça me plairait bien d'essayer. Depuis, je n'ai cessé de lire François Bon sur papier ou sur le Tiers-Livre ou en numérique.
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