80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Quand on rêve de devenir un grand chanteur, connu dans le monde entier, et quand on en a marre de faire des concerts de province accompagné par la fanfare du village, on peut mettre en avant : son talent, sa plastique physique, son nom, son pognon.
Or, quand on a une voix de crécelle, le minois d'un lapin, une identité quelconque et un porte-monnaie troué, on peut toujours : s'appuyer sue des connaissances et des amis, avoir un sacré culot et surtout se trouver une bonne grosse raison bidon pour que les gens achètent le disque. Or, quoi de mieux que de se faire passer pour un chanteur de " Noble Cause ". Le tout est de trouver un bon indigène, bien docile, à promener devant les caméras : et le tour est joué ! Les gens vont s'arracher le singe qui parle d'une pauvre tribu en danger.
Peu importe si on compte vraiment verser ou pas des fonds à une association, du moment qu 'on choisit bien le logo ! Des fois, ça marche. Mais des fois... C'est ce que vont essayer de faire le chanteur Joni et son impresario de tonton, Robert...
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