80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Dans le Paris des Années folles, le ballet connaît une vive effervescence suscitée par des collaborations inédites entre la musique et les arts. Le ballet Parade, présenté par les Ballets russes en 1917, devient le prototype d'un échange collaboratif entre Cocteau, Picasso et Satie, qui a engendré un spectacle mémorable sous l'empreinte du cubisme et du futurisme. Avec l'arrivée des Ballets suédois en 1920, la convergence entre les arts - littérature, peinture, danse et musique - se place vraiment au centre du processus créatif transformant la scène en de pures manifestations cubistes, futuristes, surréalistes et dadaïstes.
L'ouvrage souligne l'interaction artistique et la cohésion esthétique de sept ballets issus de ces compagnies de danse : Parade (1917), Les Mariés de la tour Eiffel (1921), L'Homme et son désir (1921), Skating Rink (1922), Within the Quota (1923), La Création du monde (1923) et Relâche (1924). On y croise, entre autres, Cocteau, Claudel, Cendrars, Picasso, Léger, Satie, Milhaud et Honegger.
Les éléments composant chacun de ces ballets - livret, décor, costumes, chorégraphie et musique - sont systématiquement étudiés. Plusieurs illustrations, documents d'archives, exemples musicaux, tableaux et schémas accompagnent les propos qui jettent un regard neuf sur la rencontre entre la musique et les arts.
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