"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
En 1962, Emile J. Biasini précisait dans un rapport, reproduit ici intégralement, les contours réels des maisons de la culture, qui devinrent le symbole de l'action culturelle. Elles devaient illustrer la mission fondamentale du ministère de la Culture, telle qu'elle fut définie par André Malraux : "rendre accessibles les oeuvres capitales de l'humanité, et d'abord de la France, au plus grand nombre possible de Français, assurer la plus vaste audience au patrimoine culturel, et favoriser la création d'oeuvres de l'art et de l'esprit qui l'enrichissent".
Parallèlement, depuis une vingtaine d'années, les "événements" culturels se succèdent à un rythme de plus en plus rapide qui réjouit les uns et alarme les autres. Cette omniprésence de l'événementiel joue-telle au détriment de l'action culturelle ou la conforte-t-elle ?
A travers les contributions de Pierre-Yves Heurtin, Catherine Clément, Jean-Michel Djian, Paul Virilio, Françoise Grùnd, André Lewin, Jean Biaise et Chérif Khaznadar, le présent ouvrage aborde cette problématique sous des angles différents. Il n'apporte pas de réponses, il offre matière à réflexion.
Jean Duvignaud, pour qui l'événement, comme le mirage des songes, serait "une appropriation commune dont se repaît la vie collective", a préfacé ce livre peu avant sa disparition.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !