Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Un corps est né, on lui a donné le nom de Jérôme Poloczek, le corps change mais le nom reste le même, il a rédigé cette phrase dans un train, elle aurait pu dire qu'il respire et salive et est un animal, comme toi qui as un nom, mais un corps qui n'est jamais le même. www.popovchka.net Si je perdais mes jambes, mes bras, mes ongles, mes omoplates, mes seins, mon poumon, ma langue, mes dents, mon nez, mes yeux, mes oreilles, mes cheveux, je survivrais avec un trou du cul, un estomac, une colonne vertébrale, un coeur, un poumon, du sang, un cerveau. Des parties dans lesquelles des parties changent microscopiquement.
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