Le salariat vit une fin de cycle qui se caractérise par une individualisation des rapports, un chômage comme variable d'ajustement, de la violence qui se généralise et un management dégradant dans un cadre stressant. Cessons de gémir, passons à l'action pour l'emploi avec une fête de l'emploi et donnons aux bassins de vie les compétences utiles. Ayons le courage d'être en accord avec nous-mêmes et décodons ce qu'est l'entreprise afin d'avoir le libre choix de se soumettre ou de se démettre. Refusons la violence gratuite et les relations humaines pauvres, voire inexistantes. Vivons à notre propre rythme et non à celui des autres qui veulent tout imposer, y compris l'inacceptable. Choisissons notre voie au lieu de la subir.
C'est tout un travail mais il vaut la peine d'être fait.
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