"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
1968. Jean a six ans quand il est confié du jour au lendemain à sa grand-mère. Pour l'été. Pour toujours. Il n'a pas prévu ça. Elle non plus.
Mémé Lucette n'est pas commode, mais dissimule un coeur tendre. Jean, véritable moulin à paroles, est un tourbillon de fraîcheur pour celle qui vivait auparavant une existence paisible, rythmée par ses visites au cimetière et sa passion pour le tricot.
Chacun à une étape différente sur le chemin de la vie elle a tout vu, il s'étonne de tout , Lucette et Jean vont s'apprivoiser en attendant le retour de la mère du petit garçon.
Ensemble, dans une société en plein bouleversement, ils découvrent que ce sont les bonheurs simples qui font le sel de la vie.
Un duo improbable et attachant pour une cure de bonne humeur garantie !
Jean, six ans est confié par Marie sa mère à Lucette sa grand-mère, à Granville. Marie quitte la Normandie dans l’espoir de se faire une place meilleure dans la capitale, avec pour objectif de récupérer rapidement son fils. Lucette, qui a déjà élevé sept enfants, Marie étant la cadette est fatiguée et ses moyens financiers sont très limités mais elle relève le défi pour le bien de Jean. La lecture de cette histoire est presque trop facile car elle fait surtout appel à des ressorts primaires d’émotion et prête à Jean qui n’a que six ans, une capacité à analyser les situations qu’un enfant de cet âge ne peut avoir. Beaucoup de poncifs et de clichés jalonnent une narration simpliste exprimée dans un style fade.
1ère lecture pour moi d'un livre de Aurélie Valognes pendant le 1 er confinement et quelle lecture.
J'ai été transporté du début à la fin par cette magnifique histoire aussi touchante qu'attachante entre Jean et sa mamie Lucette. J'ai ris, j'ai eu les larmes au yeux et mon cœur c'est serré en fermant le livre.
N'hésitez pas à découvrir cette histoire dans cette jolie ville de Normandie
Quelle belle histoire, cette cohabitation entre ces deux générations qui ne sont pas faites, à la base, pour vivre ensemble!
A six ans, Jean doit vivre seul avec sa mémé Lucette, sans sa maman, qui l’a déposé une nuit avant de partir…
Les semaines, puis les mois, se suivent sans qu’elle ne revienne.
J’ai été profondément touchée par ce petit bonhomme courageux, curieux, qui fait tout pour qu’on l’accepte, qui ne veut pas déranger. En mal d’amour et en manque total de sa mère, il se construit une vie aux côtés de sa grand-mère, sa tante et ses cousins, ainsi que ses amis qui comptent beaucoup pour lui!
Même s’il est vrai que les bébés ne sont pas livrés avec le mode d’emploi, ils n’ont pas demandé à venir au monde. Il faut savoir s’adapter, peut être savoir mettre de côté un temps ses propres projets. Ils ne demandent pas grand chose après tout, une présence et être aimés, c’est tout…
Ce roman touche du doigt plusieurs problèmes récurrents des années 60 et 70, la place des femmes dans la société de l’époque et les choix qu’elles n’avaient pas.
Tout ceci nous est conté avec la délicatesse d’Aurélie Valognes qui a l’habitude de traiter les sujets en toute simplicité, par le biais d’histoires touchantes et de personnages attachants.
J’ai passé un merveilleux moment pendant la lecture de ce roman!
Quand le petit Jean, 6 ans, est recueilli par sa même Lucette, ça n’est pas du tout cuit ! Le quotidien pique comme de l’alcool sur un genoux égratigné et rape comme les gravillons de la cours de récré inscrustés dans les mains.
Aurelie Valognes a gardé son âme d’enfant... ou a une très bonne mémoire ! Elle nous replonge avec une grande justesse dans des bottes d’une petite personne vivement sa 7e année de vie : légèreté, vraies peines, incompréhension et lucidité absolue, saut dans l’inconnu et certitude à toute épreuve... la vie de Jean, c’est tout cela à la fois.
Un feel-good comme je les aime, émotionnellement intelligent, subtile et drôle, touchant et piquant.
Un sujet très original qui change des histoires d’amoureux. C’est rafraîchissant, addictif et profond.
Une belle rencontre.
Roman très touchant d'un petit garcon de six ans envoyé chez sa grand-mère car sa maman ne peut s'occuper de lui. Il nouera un magnifique lien avec mémé qui fera de son mieux pour lui rendre la vie moins dure.
Le roman prend place à la fin des années 60 en Normandie. On rencontre Jean qui est confié à sa grand-mère.
Dès les premières pages on s'attache très vite à ce petit bonhomme. Attendrissant, naïf il va faire preuve de beaucoup de courage face au chemin de la vie qui l'attend.
J'ai beaucoup aimé le duo qu'il formait avec Lucette, sa grand-mère. Un duo improbable dont il va ressortir de la complicité, de la solidarité. En s'amadouant tous les deux ils vont se créer une relation particulière malgré l'écart générationnel.
La force d'Aurélie Valognes c'est de nous raconter une histoire avec simplicité et beaucoup d'émotions. J'ai retrouvé la légèreté et sa fraîcheur d'écriture avec une bonne dose d'humour. C'est toujours le bon dosage entre des situations cocasses, drôles et celles plus émouvantes. Et comme toujours on y retrouve les expressions désuètes auxquelles elle est très attachée et qui collent parfaitement à l'époque du roman.
Si ce n'est pas déjà fait, allez à la rencontre de Jean et de Lucette. C'est une histoire douce et sincère qui vous attends. La meilleure de l'auteure selon moi. Au petit bonheur la chance à ce petit goût de vintage qui fait du bien !
J’ai trouvé le livre d’Aurélie Valognes dans une boîte à livre, au petit bonheur la chance donc. Et comme l’occasion fait le larron…
En lisant ce livre, je me suis posé la question : peut-on faire du « feel-good » avec un sujet sérieux ? Le livre traite de l’abandon maternel et de l’avortement avant qu’il ne soit légalisé.
1968, Jean est confié à sa grand-mère, temporairement, le temps que sa mère s’installe à Paris. Mais ce temporairement s’éternise… plongeant l’enfant dans un profond désarroi même si avec sa même Lucette ils finissent par s’apprivoiser.
L’histoire est intéressante, l’écriture est honnête. Or, l’inconvénient avec le genre « feel-good », c’est que ça reste au ras des pâquerettes ! J’aurai souhaité lire plus de phrases comme celle-ci : « Comme si porter seule le poids si lourd d’un être si léger dans ses entrailles n’était pas en soi une punition, quand l’enfant n’est pas désiré. L’acte se fait au pluriel, mais les conséquences sont toujours au singulier. Et au féminin. »
Mes expressions vieillottes préférées : Pas née de la dernière pluie, Ce n’est pas ma tasse de thé ! Et vous ?
Je crois que je viens de trouver mon préféré d'Aurélie Valognes !
Un roman d'enfance et d'abandon, de douceur et d'amour.
On s'attache tout de suite au petit Jean et sa grand-mère, on s'inquiète pour ce duo, pour leur avenir à chacun.
Un très beau roman à découvrir !
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