Passionné(e) de lecture ? Inscrivez-vous gratuitement ou connectez-vous pour rejoindre la communauté et bénéficier de toutes les fonctionnalités du site !  

Au pays des oiseaux qui ne volent pas

Couverture du livre « Au pays des oiseaux qui ne volent pas » de Laurence Talairach aux éditions Plume De Carotte
Résumé:

Au pays des oiseaux qui ne volent pas s'intéresse aux oiseaux de Nouvelle-Zélande et des îles du Pacifique, notamment les espèces éteintes ou menacées d'extinction. Le récit fait référence à des questions de biodiversité particulières aux milieux insulaires (des îles) et évoque l'évolution de... Voir plus

Au pays des oiseaux qui ne volent pas s'intéresse aux oiseaux de Nouvelle-Zélande et des îles du Pacifique, notamment les espèces éteintes ou menacées d'extinction. Le récit fait référence à des questions de biodiversité particulières aux milieux insulaires (des îles) et évoque l'évolution de certaines espèces endémiques (ne vivant qu'à ces endroits) à travers le cas des oiseaux non volants, parmi lesquels les moas désormais éteints, mais également les kiwis et les kakapos, en voie d'extinction.

Comme beaucoup d'îles du Pacifique, la Nouvelle-Zélande compte un très grand nombre d'oiseaux, parmi lesquels beaucoup sont endémiques. Pendant très longtemps, il n'y avait eu aucun mammifère terrestre en Nouvelle-Zélande, ce qui explique la forte proportion d'oiseaux non volants, peu menacés par les prédateurs avant l'arrivée de l'homme.

C'est l'arrivée des hommes provenant des îles Pacifiques environnantes, notamment aux alentours du XIVe siècle, qui a provoqué l'extinction de certaines espèces d'oiseaux, soit parce que ces dernières ont été chassées, soit parce que les Européens ont introduit sur le territoire quelques siècles plus tard des prédateurs (chiens, chats, cochons, rats, furets, etc.). Les espèces non volantes ont été les premières victimes de ces prédateurs, qui mangeaient notamment leurs oeufs, et le restent encore aujourd'hui. La création récente de réserves ou d'îlots, telle l'île de Kapiti, sans aucun mammifère, permet de nos jours la sauvegarde de certaines espèces.

Donner votre avis