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Au parlement, les fleurs ne poussent pas -(fil-parlament, ma jikbrux fjuri)

Couverture du livre « Au parlement, les fleurs ne poussent pas -(fil-parlament, ma jikbrux fjuri) » de Olivier Friggieri aux éditions Saint Honore Editions
Résumé:

"Dans une expression claire, pleine d'humour, de sérieux, d'amour et de foi, j'écris à propos des racines du conflit qui opposent deux partis politiques à Malte (hier comme aujourd'hui) dont le personnage principal est Karlu Manju qui représente le maltais libre, un jeune homme attachant qui... Voir plus

"Dans une expression claire, pleine d'humour, de sérieux, d'amour et de foi, j'écris à propos des racines du conflit qui opposent deux partis politiques à Malte (hier comme aujourd'hui) dont le personnage principal est Karlu Manju qui représente le maltais libre, un jeune homme attachant qui exprime ses idées sur la société à son chien Cerbru, un chien émancipé, sans oublier les conseils de sa jolie fiancée Silvja. C'est un roman politique, d'amour et de foi religieuse... un roman qui a une histoire... parce qu'il met en scène la politique du pouvoir et celle de l'homme de la rue. Une invitation à réfléchir sur l'essentiel : l'être en souci et maltraité devant les grandes vérités de chaque époque et de toute civilisation : la vie et la mort, l'amour et la solitude, la souffrance et la joie, la parole et le silence. Traduit du maltais par Joseph Cutayarls dépassent largement le niveau du politique. Les fleurs poussent là où un coeur s'ouvre.

Dans ce roman, la politique est seulement le point de départ, car le voyage nous emmène beaucoup plus loin... Le roman célèbre les vieilles racines d'un très petit pays, Malte, appelé affectueusement « l'île », « le rocher », partagé en deux et toujours colonisé. Il est écrit comme une salutation à la terre et comme une reconnaissance de son caractère non reconnu et méprisé. Karlu Manju reconnaît que la vraie révolution demande des changements radicaux, mais si elle n'a pas ses racines qui plongent profondément dans son passé, elle ne donne aucun fruit. Il est pris en tenaille dans le contraste entre l'identité - l'individualité de la Nation - qui a engendré l'histoire et la séparation de la Nation en apparence entre parti et parti, mais réellement entre exploiteurs et exploités. Dans ce roman, les plus hauts moments poétiques semblent isolés et prennent la forme d'une prière. Elle indique la reconnaissance du Royaume et non de la destinée, de la Providence - Mère unique dans le ciel -. Karlu Manju est en lutte contre le système politique et contre le personnage avec un faux masque de Père. À cause de cela, il entreprend la marche de l'intégrité et d'un engagement total au service de son pays, « de son île, de son rocher », avec les risques que cela comporte. Peut-être que ce choix se présente également à nous.

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