"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Stockholm, 21 juin 1810.
Un corps à demi nu, couvert de sang, gît devant la Maison de la Noblesse. Il ne reste plus grand chose de la superbe d'Axel de Fersen, grand maréchal du royaume, massacré à coup de parapluie par une foule déchaînée. A ses côtés traînent lamentablement ses décorations innombrables, symbole de ce qu'il a été, et une montre en or, cadeau de la reine Marie-Antoinette. Qui était-il ? Qu'a-t-il fait ? Avant de mourir, cet homme, dont on ne peut toujours pas prononcer le nom sans s'entendre demander : " Etait-il l'amant de la Reine ? ", a remis une enveloppe à sa soeur.
Pour la première fois, il se livre et raconte sa vie en France entre son premier et joyeux séjour à la fin du règne de Louis XV et sa dernière entrevue, au péril de sa vie, avec la famille royale prisonnière aux Tuileries. Parce qu'il a tout perdu, le principal témoin d'un drame commencé comme une comédie ne cache rien de ce qui s'est vraiment passé. A partir d'une recherche rigoureuse et d'une documentation considérable, Patricia Bouchenot-Déchin a choisi de faire resurgir, sans complaisance, une des figures les plus controversée de l'histoire de cette époque, en lui rendant la parole pour de bien étranges révélations.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !