80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Je suis un trou de mémoire / Je suis une lacune / Mon histoire est muette nous dit Bernard Colas appelé aux variables bleues de Valérie Thévenot, plasticienne. Séjour d'une poésie lucide mais Nous avons l'infini / Il nous faut toute une vie pour apprendre à compter. Au milieu d'une phrase, comment s'assortir à l'existence et conjuguer ses sorts ? Ajustement périlleux et si précis... Je souffre de rêves excessifs / J'ai peur des matins sans songes / S'avance une journée immense. Au matin de la courbe, exultent les spires de Valé-rie Thévenot aux mimes minimaux. Glyphes oiseaux et oscillants, vibratiles où déteignent des vols outre pollens incertains. Le poète assume des sillons éloquents, engrenage subtil et malicieux où l'on traque un infini dosé avec attention et pointillés ... Bernard Colas interroge ces solitudes qui nous répètent et nous contraignent aux élans, aux projets, aux métamorphoses même si Les bruits de fond se sont trompés car Les gens perdus n'ont pas de parole / Mais Le Temps fait de son mieux et le ciel est prévu.
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