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Si vous avez aimé Autant en emporte le vent...
Diana Cooke est née avec le siècle, mais son nom remonte bien plus loin, jusqu'aux pères fondateurs de l'Amérique. Descendante d'une grande lignée, elle habite Saratoga, une magnifique propriété de Virginie qui fait la fierté de la famille. Mais cette maison, comme son nom, est lestée par deux dettes abyssales. La première est financière, et le seul moyen de s'en acquitter est au prix d'un mariage. La seconde est plus profonde : la maison des Cooke et le prestige de leur nom sont bâtis sur le plus sombre péché du Sud, l'esclavage. Et cette dette-là ne se rembourse que par une malédiction. La voici peut-être qui s'avance sous la forme du capitaine Copperton.
Dans ce splendide roman, Robert Goolrick nous offre une fable sur l'amour, la dette et le poids du péché de nos pères.
Après l'incendie est suivi d'une nouvelle autobiographique inédite, Trois lamentations.
Traduit de l'anglais (États-Unis) par Marie de Prémonville
Quelle déception que ce livre dont j’avais lu de très bonnes critiques et dont la 4ème de couverture était plutôt alléchante. La 1ère phrase est accrocheuse : « Si vous avez aimé Autant en emporte le vent… ». Comment comparer ce dernier avec celui-ci ??!!!
Non, rien à voir.
Leur seul point commun est la propriété qui représente beaucoup pour ces familles et qu’il faut conserver coûte que coûte. Mais là s’arrête la similitude.
L’époque n’est pas la même du tout, guerre de sécession dans Autant en emporte le vent et période entre la 1ère et 2ème guerre mondiale dans ce livre (qui d’ailleurs n’est vraiment cité qu’une ou 2 fois de façon très succincte) et les 2 trames n’ont rien à voir, on est loin de la grande histoire de Margaret Mitchell que j’avais beaucoup aimé et de ses magnifiques personnages.
J’ai trouvé ‘Après l’incendie’ particulièrement fade, y compris ces personnages, et je me suis ennuyée car il ne s’y passe pas grand-chose.
Je trouve que la 4ème de couverture n’est pas particulièrement fidèle à l’histoire, très pompeuse et qui semble en offrir beaucoup alors que non.
J’ai été bien contente d’en finir et n’ai eu aucune envie de lire la nouvelle qui se trouve à la fin du livre.
Ce livre a été un coup de coeur essentiellement grâce à l’héroïne Diana cette jeune fille qui à 17 ans, après la première guerre mondiale, pour sauver le domaine de ces ancêtres et de ses parents endettés, devient la star des bals de débutantes afin d’y trouver un mari richissime.
Sa mission est accomplie, le domaine est sauvé mais en épousant le capitaine Copperton tout ne se passe pas comme prévu. Il s’avère que l’homme est pervers et vicieux au point de l’éloigner de son fils Ashton.
j’ai adoré cette héroïne qui assume sa sexualité à quarante ans, et essaie de vivre sa passion amoureuse tout en sachant que le drame ne fait que planer sur leur tête.
Vous aimerez ce roman si vous aimez les décors de vieilles demeures du Sud, les amours interdits, les héroïnes un peu malmenées qui essaient de s’en sortir désespérément, et, selon la quatrième de couverture si vous avez aimé autant en emporte le vent qu’il va falloir que je me décide à lire.
On ne s’ennuie jamais, il y a toujours un nouveau personnage qui vient agrémenter l’histoire, des rebondissements, des événements, le genre d’histoire que j’aime dévorer.
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