Blanche vient de perdre son mari, Pierre, son autre elle-même. Un jour, elle rencontre Jules, un vieil homme amoureux des fleurs...
La politique de décolonisation culturelle par celle de l'éducation relève du souci de conservation du culturellement à soi et Rome a été l'une des premières nations à s'engager dans une telle politique. Mais le changement de l'état moral de son peuple, dû à l'incapacité des croyances traditionnelles à trouver des solutions aux problèmes existentiels d'alors, l'a conduite à un échec total en matière de lutte contre l'invasion des modes de vie étrangers. Ce souci de conservation du culturellement à soi rappelle les volontés de décolonisation culturelle par celle de l'éducation en Afrique, fondées sur les vertus éducatives des totems et tabous des religions traditionnelles. Or les vertus éducatives des croyances traditionnelles dépendent exclusivement de la pietas des adeptes desdites croyances. Il ressort ainsi de cette investigation la question de savoir comment l'Afrique pourra-t-elle réussir la décolonisation culturelle par celle de l'éducation là où la Rome antique, avait échoué avec les mêmes armes des vertus familiales, paysannes et traditionnelles déterminées par les croyances religieuses?
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Blanche vient de perdre son mari, Pierre, son autre elle-même. Un jour, elle rencontre Jules, un vieil homme amoureux des fleurs...
Des idées de lecture pour ce début d'année !
Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
A gagner : la BD jeunesse adaptée du classique de Mary Shelley !