Blanche vient de perdre son mari, Pierre, son autre elle-même. Un jour, elle rencontre Jules, un vieil homme amoureux des fleurs...
Pourquoi voyage-t-on ? Sans doute pour se retrouver un peu transformé d'avoir franchi une frontière derrière laquelle nous attend cet autre soi-même, indépendamment de l'autochtone aux moeurs étranges, des émerveillements devant la fraîcheur des murs après des nuits de cahots et de marches, des trouvailles, des attirances ¦ Jean-Jacques Dicker aime parcourir le monde et aime le regarder à travers le viseur de son appareil photographique. Enfant il rêvait de la vie des Gitans voyageurs, se demandant pour réussir, s'il fallait frapper à de nombreuses portes dans chaque village et dans les villes ; plus tard, plus sage, il rêve tout simplement de voyager en empruntant la voie terrestre, il sillonne en stop les États-Unis, le Mexique avant de faire le tour du monde. En 1968, il achète son premier appareil photo et part à l'aventure. L'Afrique : du nord au sud, sans avoir besoin de frapper à chaque porte ; il y marchera et y séjournera trois ans durant quatre voyages, les deux plus longs étant ceux de 1977/78 et 1984. Il s'attachera à photographier quatre thèmes : ses chambres qu'il photographie quand il en prend possession, les routards : ses copains, les haltes : le paysage et le quotidien du voyage, et les femmes, pour la plupart des prostituées.
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