Alice a quatorze ans quand elle est hospitalisée : un premier roman foudroyant
« Que l'on vive seul ou bien avec l'être aimé,
Peu importe, l'on est bien seul avec soi-même.
L'autre ne saura de nous que ce qu'on essaime
Au bon vouloir des mots et gestes bien formés. »
Pour son premier recueil de poèmes, l'auteur cristallise des préoccupations universelles : l'existence supposée d'un destin, les latitudes du sentiment amoureux, ou encore la précarité des souvenirs.
Avec, en toile de fond, l'angoisse reine, l'essence de l'homme : son évanescence.
« Ad vitam aeternam », c'est la catharsis par les mots, expulsés sur le papier moins pour dire notre peur de disparaître que pour réaffirmer notre engagement : extraire la miette d'infini de chaque instant.
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