80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Le départ. Le Tage. Lisbonne. La ville. Les oeuvres catholiques. L'église de SaintRoch. Le cloître de Bélem. La Casa Pia. La navigation. Un mineur qu'on voudrait détrousser. Le steamer le Niger. Ses dimensions. Les passagers.Ce n'est pas sans émotion que le voyageur au long cours quitte le sol natal. Les parents, les amis se présentent à son esprit et semblent vouloir le retenir; l'imagination accumule les difficultés, les périls, et s'efforce de l'arrêter. Puis la pensée de la Providence qui veille sur toutes ses créatures dissipe ce trouble d'un moment.C'est dans ces sentiments que le mai , à dix heures du matin, je quittai Bordeaux pour descendre la Gironde et rejoindre à son embouchure le Niger, steamer de la Compagnie des Messageries maritimes, qui devait me porter au Brésil.Trois jours de navigation nous firent franchir les côtes de France et d'Espagne, et dans la nuit du mai notre navire jetait l'ancre dans le Tage, en face de Lisbonne, en Portugal.
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