L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Dans le petit tableau peint par Fujita, né au Japon, et présenté en première de couverture , l'académicien apparait comme un bambin nu portant une épée...Il n'est pas pour autant naïf: il est l'image de l'enfance immortelle de notre langue qu'il doit surveiller et défendre.En combattant sans cesse pour le maintien de la dignité et la vitalité de notre langue, l'Académie française, cette grande Dame, permet à chacun, sur le sol de la francophonie, de pouvoir affirmer, comme Albert Camus, né en Algérie:Ma patrie, c'est la langue française.La lecture facile de ces textes montre bien qu'académiciennes et académiciens évoquent et discutent des problèmes qui agitent la société française presque au jour le jour.Découvrons les et n'oublions pas que ces femmes et ses hommes d'exception, certes, se préoccupent de la langue, qui est non seulement notre patrimoine et aussi notre identité.
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