A gagner : des exemplaires de cette BD jeunesse sur fond de légendes celtiques !
Le phénomène des enfants de la rue, en particulier dans le tiers-monde, a maintenant frappé l'opinion publique. Mais les documents qui permettent de s'informer font en général plus appel au sentiment qu'à l'analyse scientifique. Or l'action, pour être efficace, a besoin d'approches objectives et précises, d'éléments de comparaison permettant de saisir la spécificité de chaque situation et de chaque ville.C'est pourquoi deux scientifiques, armés d'une longue expérience de terrain, ont réuni dans ce livre soixante-cinq documents, aux approches et aux formes très diverses, issus de vingt et un pays d'Afrique noire. Il s'agit, à partir de cas concrets, de comprendre pourquoi certains enfants ont dérivé aux marges de la société, comment ils vivent, quels sont leurs souffrances et leurs plaisirs, leurs angoisses et leurs espoirs...Aider les enfants en détresse, cela signifie aussi lutter contre ce dont ils souffrent le plus en eux-mêmes: le mépris, le regard hostile dont les accable la société, dont ils sont en fait les victimes. Pour amorcer leur réinsertion, il faut d'abord rétablir un dialogue et leur donner enfin _ à eux aussi _ la parole: il faut se mettre à l'écoute des enfants de la rue .Au-delà du grand public sympathisant, ce livre vise en particulier tous ceux qui ont à agir directement ou indirectement en faveur des enfants et des jeunes des rues. C'est pourquoi le ministère de la Coopération aidera à le diffuser largement en Afrique.Yves Marguerat, directeur de recherche à l'ORSTOM (Institut français de recherche scientifique en coopération pour le développement), est spécialiste de l'évolution des villes et des sociétés urbaines en Afrique noire. En poste au Togo de 1978 à 1994, il y a fondé _ avec des amis togolais _ un foyer pour enfants des rues, et s'est occupé lui-même de nombreux jeunes en difficulté.Danièle Poitou, sociologue au CNRS, a étudié dès 1970 la délinquance juvénile au Niger, à laquelle elle a consacré son doctorat en 1975. Elle continue depuis à travailler sur les processus d'urbanisation et de marginalisation en Afrique de l'Ouest.Ils ont lancé ensemble l'association Marjuvia (Marginalisation des jeunes dans les villes africaines) pour mettre en contact chercheurs, praticiens et institutions concernés par le problème.
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