80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Nous sommes émoustillés au plus haut degré à l'idée d'explorer un territoire quasiment vierge de l'extrême ouest du Népal. Par dessus-tout, c'est la perspective d'approcher de très près le Tibet interdit et mystérieux qui nous fascine et nous excite.
Nous sommes nourris des récits fabuleux d'Alexandra David-Néel, du père Huc, des explorateurs britanniques, d'Heinrich Harrer, et le projet d'aller jusqu'à toucher des yeux la frontière tibétaine nous émeut follement. Nous deviendrons alors un peu comme les héros fantastiques de nos lectures favorites !!!...
Yvan Comolli effectue un voyage en Inde en 1963 et à cette occasion en profite pour faire une petite escapade au Népal. Ce royaume lui fait l'effet d'une véritable révélation. À un point tel qu'après avoir entrepris de mieux connaître la vallée de Kathmandu et fait un premier trek dans le Helmu en 1967, il revient dans ce pays qui le fascine et dans les régions avoisinantes (Bhoutan, Sikkim) à quatorze reprises... À un point tel également, qu'il se met sur le champ à apprendre le népali et le tibétain...
Florence Comolli, la fille d'Yvan, participe à ce trek avec dix-neuf autres personnes. Elle a alors seize ans. Ce voyage au Népal de 1973 est son premier grand voyage et son premier contact avec l'Asie tant rêvée. Ce trek concrétise pour la première fois ses voeux les plus chers. Le Népal, pour elle, illustre à la perfection le sentiment, étrange de prime abord, d'être enfin pleinement elle-même ! Elle est comme un poisson dans l'eau, elle évolue avec bonheur au milieu de ces « étrangers », immergée dans cette civilisation si radicalement différente de la sienne.
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