"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Júlio Santana, bon chasseur et bon tireur dans son Amazonie natale, a appris la profession de tueur à gages à 17 ans avec son oncle qui lui assure que, s'il récite dix Ave Maria et vingt Pater Noster après chaque meurtre, il n'ira pas en enfer. Il note soigneusement sur un cahier d'écolier le nom des victimes, le nom des commanditaires, la date et le lieu du crime, ce qui lui a permis de compter 492 personnes au long de 35 années de carrière.
Júlio raconte ses drames, ses rêves, ses faiblesses. C'est un homme sensible, un bon fils, un mari aimant et un père affectueux. Il a pour commanditaires l'armée, des maris jaloux ou des pères vengeurs, des grands propriétaires terriens qui éliminent des syndicalistes ou des «sans terre».
Pour la première fois, un reportage raconte, avec un grand talent littéraire, la vie surprenante d'un homme que tout destinait à être un pêcheur comme son père et son grand-père, mais qui est devenu le plus grand tueur professionnel connu au monde.
Le sujet,fort original et bien traité,m'a vivement intéressée.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !