Il n'est pas trop tard pour les découvrir... ou les offrir !
"Le Collège Noir", une série jeunesse, à partir de 11 ans, pour vivre des aventures fantastiques et se faire peur, un tantinet.
En plein milieu de la forêt, Ulysse, Puss, Krup et Step sont dans un internat un peu particulier où Léna, leur anim' n'a pas l'air de se soucier beaucoup de ce petit groupe. Champs libres et étendues sauvages sont leurs quotidiens... Très vite, les accidents se succèdent et les créatures maléfiques apparaissent.
Léna, non plus, n'est pas vraiment seule qu'elle prétendait
3 histoires pour frissonner et vivre plein d'aventures extraordinaires. Le dessin d'Ulysse Malassagne et ses personnages aux traits exagérés ajoute une grande note d'humour.
On s'inquiète, on flippe un peu, on rigole, une série jeunesse vraiment chouette proposée dans une très belle intégrale.
À l'internat, Ulysse, Ouss, Step, Mei, Krum et Jonas restent encore une fois seuls avec Léna, la surveillante bourrue.
Perdu au milieu des montagnes d'Auvergne, le collège se vide à chaque vacances.
Jonas lui, il habite à côté, alors il rentre à pieds à travers bois. Sauf que cette fois il ne rentrera pas.
Mais il reviendra dire au revoir aux copains... sous forme de fantôme !
Les cinq gamins, en voulant comprendre, vont déranger la sorciere du coin qui va les maudire !
À partir de là, ils vont se mettre à voir tous les cauchemars qui existent alentour, découvrant que leur bahut est construit sur une ancienne église et Léna n'en a pas l'air spécialement surpris...
Cette trilogie me faisait diablement envie depuis longtemps, et houra, la voilà réunie dans cette belle intégrale !
Halloween oblige, c'était le mercredi parfait pour vous en parler.
Ulysse Malassagne nous amène cette histoire nichée au cœur de sa region d'origine comme si il l'avait vécue lui-même, racontant ses souvenirs.
Eh bien... J'espère que RIEN n'est vrai !
Ces 3 tomes sont une vraie course sans temps mort.
Un récit d'horreur accessible aux jeunes ados et aux adultes ou on retrouve toutes les choses qu'on se raconte gamin au coin d'un feu de camp, quand on essaie de se faire peur.
Alors oui, ça fait peur ! Mais juste assez pour en faire un récit haletant et passionnant.
Mais ça n'est pas que ça !
L'écriture est vive, moderne, pétillante et pleine d'humour. On est même émus ! Tout y est.
Les liens entre les enfants se révèlent sous la tension comme leur courage et leur solidarité, et le personnage de Léna apporte un sel supplémentaire.
Le 1er tome respire en de multiples petits chapitres, avant d'entrer dans des arcs plus longs à mesure que monte la tension et que descendent les enfants dans le ventre du mal absolu.
Le dessin est aussi adorable que flippant, c'est juste parfait !
Pour prolonger le plaisir, la version animée est dispo sur ADN. Et bien moi je ne vais pas m'en priver !
C'est l'histoire de cinq collégiens, qui ne pouvait rentrer chez eux pendant les vacances. Alors, ils restaient dans leur établissement sous la "surveillance" de Lena. Mais un soir tout vas changer pour ce petit groupe... Une rencontre va bousculer leurs nuits. La sorcière.
Tout d'abord je vais parler du graphisme. Originale, très beau, je vais pas mentir, sans le titre j'aurais pu croire que les enfants était des primaires :) Je trouve que cela est un choix très bien pensé. Il montre une certaine naïveté chez ses jeunes gens.
J'ai apprécié ce début d'histoire, j'ai même très envie de découvrir la suite de cette aventure ténébreuse. On y voit des monstres très intéressant. Ce que j'ai trouvé assez comique, si je peux dire, c'est qu'une scène m'a fait penser à un tableau " Le Cauchemar" de Fussli. J'ai même penser en voyant une chèvre à Baphomet. ( PS : je vous laisse découvrir la BD pour comprendre ce que je veux dire ) Pour moi, il y a aussi une connaissance culturel caché dans les illustrations. A moins que je sois folle :)
C'est donc une BD, fascinante, que j'ai hâte de continuer. Et que j'espère tous comme moi, vous découvriez.
cette bande dessinée me tente bien car les histoires des petits tel "le train des orphelins" me plait beaucoup .
Là avec cette histoire de vacances cela peux me rappeller ma jeunesse où l'école était plus un loisir qu'une contrainte
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