"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Difficile de décrire ce premier tome, mais il y a clairement quelque chose. J'ai aimé la délicatesse qui émane des relations entre les personnages. Le dessin épuré va à l'essentiel. Le rythme est lent et crée une ambiance étrange mais intense. Il faut maintenant que je lise la suite.
Adaptation du roman historique de Shûgorô Yamamoto, célèbre romancier japonais, si Chiisakobé prend pour décor l'époque moderne, l'intrigue se tisse toujours autour de la même complexité liée aux sentiments japonais.
Shigeji vient d'apprendre que l'entreprise familiale a brûlé, cet énergumène aux cheveux longs qui semble vivre dans un monde à part va devoir prendre la suite de ses parents décédés dans l'incendie.
Lorsqu'il retourne dans sa maison natale pour reconstruire l'entreprise, il retrouve Ritsu, amie d'enfance qu'il va embaucher comme assistante. Orpheline, elle a dû batailler pour survivre et possède un sacré caractère à l'exact opposé de cet homme rêveur…
Une illustration pop vraiment superbe, une histoire pleine de charme qui nous emporte avec délectation aux pays du soleil levant.
Voilà, la série Chiisakobé se termine, sniff !
Dans ce quatrième et dernier tome de la série, les enfants et les apprentis partent pour un séjour d'une nuit dans une station thermale tandis que Shigeji et Ritsu doivent veiller sur la petite Attchan qui souffre de fièvre.
Alors que la fin de l'année approche, les personnages se révèlent, les malentendus se dissipent, pour le meilleur ou pour le pire.
Ce dernier tome m'a plu autant que les autres. Il est rare que je sois aussi charmée par tous les tomes d'une série. Aucun n'est en dessous de l'autre.
Les dessins sont toujours aussi jolis, les textes sont toujours aussi pertinents.
Les personnages se révèlent, et j'ai beaucoup aimé la fin de cette série. Je trouve que c'est vraiment une réussite. Et j'ai apprécié l'apparence de Shigeji pour conclure la série. On le voit enfin tel qu'il est.
Il y avait plusieurs fins possibles mais celle ci est celle que j'attendais depuis le début et je suis vraiment ravie que l'auteur ai choisi cette voix ci.
C'est à regret que je termine ce quatrième tome, j'ai un peu de mal à lâcher tout ce petit monde et je dois vous avouer qu'il me plairait de plus en plus de découvrir le roman dont à été tiré ce manga.
Ma note : 4 étoiles.
Dans le tome trois du manga Chiisakobé nous continuons à suivre Shigeji, le jeune charpentier qui a perdu ses parents et l'entreprise familiale, «Daitomé», dans un incendie. Il continue à cohabiter avec son amie d'enfance Ritsu et avec les orphelins qu'ils ont recueillis. Ces derniers font parfois des bêtises. Un des enfant va fait une grosse "bêtise" qui va faire comprendre à Shigeji comment sont perçus les enfants qui vivent avec lui. La cohabitation entre les deux adultes et les cinq enfants n'est vraiment pas de tout repos... Arriveront t'ils malgré tout à continuer leur petit bout de chemin ensemble ?
Ce troisième tome continue à nous faire découvrir la vie de ces sept personnages. Les orphelins sont vraiment très spéciaux, et pourtant il est facile de s'attacher à eux malgré leur personnalité hors norme.
Les dessins me charment toujours autant, de même que les textes.
Il est toujours aussi difficile pour nos personnages de s'avouer leurs sentiments. Que c'est compliqué au Japon de dire aux autres qu'on les apprécie ! Et d'accepter de l'aide quand on en a besoin...
Je trouve que cette série est très réussie, je suis ravie de ma découverte et je mets quatre étoiles à ce troisième tome.
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