"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Immigré iranien arrivé en France en 1983, au moment de la Révolution, Pedro Kadivar a rejeté sa langue maternelle, embrassant le français et se fondant dans sa culture, en nourrissant une passion pour Marcel Proust.
Parti en Allemagne, c'est à Berlin qu'il rédigera une thèse sur Proust et redécouvrira sa langue maternelle au travers des écrits de Sadegh Hedayat, écrivain iranien, qui a lui aussi vécu à Paris et s'y est suicidé en 1951.
Récit sur la langue maternelle, sur la condition d'exilé, sur les lieux où se reflètent les écrits et la musique.
Un ouvrage tout en nuances qui donne à réfléchir sur l'appartenance, sur la langue, sur la fabrication des souvenirs.
Un ouvrage découvert par hasard sur les rayonnages virtuels de la Bibliothèque Numérique de la Ville de Paris
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