Découvrez les derniers trésors littéraires de l'année !
" Elle s'imaginait que tout avait une explication. Je l'aimais. Je l'aimais totalement, tendrement, tragiquement. Tout était possible, même le bonheur. Tu parles."
Une petite robe noire.
Boucles d'oreilles.
Visage bronzé.
Désemparée.
Cambriolée.
Légèreté et gravité pour ce roman Prix Interallié 1997.
Un auteur que je ne connaissais pas. Et bien, je n’avais rien perdu.
Au bout de 100 pages de niaiseries, j’ai sauté les 100 suivantes, sans avoir rien perdu du fil de l’histoire. Et la quarantaine de pages restantes est du même acabit.
Mais comment peut-on écrire cela ? A quoi ça sert ? Comment un éditeur peut-il décider de publier un texte aussi insipide et sans intérêt ?
Par curiosité, je vais aller voir les autres publications d’Eric Neuhoff et les critiques de ses livres.
Il n'y a pas encore de discussion sur cet auteur
Soyez le premier à en lancer une !
Découvrez les derniers trésors littéraires de l'année !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs