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Monica Mccarty

Monica Mccarty
Monica McCarty est considérée comme la plus grande auteure de romances historiques sur les clans écossais. Avec des séries à succès comme Les MacLeods, Le clan Campbell ou Les chevaliers des Highlands, elle a conquis des milliers de lecteurs dans le monde.

Avis sur cet auteur (25)

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    Couverture du livre « Les chevaliers des Highlands Tome 5 ; le saint » de Monica Mccarty aux éditions J'ai Lu

    Spitfire89 sur Les chevaliers des Highlands Tome 5 ; le saint de Monica Mccarty

    Ce tome 5 est un très bon tome, une lecture prenante et addictive, les personnages sont attachants et très intéressants. Une romance historique très documenté et fiable. Une lecture fluide et bien écrite. L'aventure et la passion se retrouve bien au rendez-vous. Un des meilleur opus pour...
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    Ce tome 5 est un très bon tome, une lecture prenante et addictive, les personnages sont attachants et très intéressants. Une romance historique très documenté et fiable. Une lecture fluide et bien écrite. L'aventure et la passion se retrouve bien au rendez-vous. Un des meilleur opus pour l'instant.

    "Quand elle se tourna, il la surplombait. Avec sa taille et ses épaules massives, il semblait occuper toute la cage d’escalier. Il lui cachait la lumière et l’air autour d’elle parut soudain lourd et chaud. Elle était profondément consciente du petit espace. Si elle se penchait en axant de quelques centimètres, ses seins effleureraient son…
    Elle rougit.
    Il dut lire dans ses pensées car il recula et l’attira dans l’étroit couloir.
    — Merci, déclara-t-il. Merci pour tout ce que tu as fait pour le roi. Les remèdes, les repas, la bière…
    En guise d’illustration, il brandit une timbale qu’elle n’avait pas remarquée.
    Ses sens avaient été trop occupés ailleurs. Son odorat par son odeur chaude, épicée et mâle. Sa vue par les petits poils drus sur son menton et ses joues, ainsi que par le poitrail large et puissant sous ses yeux.
    Son goût par le souvenir de son baiser. Son ouïe par son souffle court.
    — Tu n’as pas à me remercier, répondit-elle. Le roi est notre invité. Je n’ai fait que mon devoir."

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    Couverture du livre « Les chevaliers des Highlands Tome 4 ; la vipère » de Monica Mccarty aux éditions J'ai Lu

    Spitfire89 sur Les chevaliers des Highlands Tome 4 ; la vipère de Monica Mccarty

    Quatrième opus de cette romance historique, une intrigue ennemies to lovers "je t'aime moi non plus", une autrice qui se documente bien sur le contexte historique, des personnages qu'on aime ou qui nous agace, une lecture prenante, divertissante et agréable.

    "Lorsque Bruce l'avait baptisé «...
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    Quatrième opus de cette romance historique, une intrigue ennemies to lovers "je t'aime moi non plus", une autrice qui se documente bien sur le contexte historique, des personnages qu'on aime ou qui nous agace, une lecture prenante, divertissante et agréable.

    "Lorsque Bruce l'avait baptisé « la Vipère », il avait été surpris, puis, après réflexion, avait trouvé le nom approprié. Cela avait commencé par une insulte de Tor MacLeod concernant sa propension à lancer des remarques venimeuses, mais lui-même devait admettre qu'elle lui convenait bien. À l'instar du serpent, il savait glisser entre les défenses de ses ennemis, sa morsure était fulgurante, silencieuse et mortelle."

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    Couverture du livre « Les chevaliers des Highlands Tome 3 : la Vigie » de Monica Mccarty aux éditions J'ai Lu

    Spitfire89 sur Les chevaliers des Highlands Tome 3 : la Vigie de Monica Mccarty

    Troisième opus de la saga de romance historique "Les chevaliers des Highlands".

    Suite à la mort de William Wallace une succession sanglante déchire l'Écosse, ici on se concentre surtout sur Arthur Campbell, la Vigie et Anna la fille du Laird MacDougall. Cette dernière s'attache à Arthur qui...
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    Troisième opus de la saga de romance historique "Les chevaliers des Highlands".

    Suite à la mort de William Wallace une succession sanglante déchire l'Écosse, ici on se concentre surtout sur Arthur Campbell, la Vigie et Anna la fille du Laird MacDougall. Cette dernière s'attache à Arthur qui est un espion, pour le compte de Bruce. Un ennemie to lovers, l'histoire est intense, des protagonistes avec des caractères et des personnalités fortes. Des rebondissements et du suspense. On est dans la même veine que le précédent opus pour l'action, l'humour et la romance.

    "S'il avait été enclin à se lancer dans des allusions poétiques tel un barde éperdu d'amour, il aurait dit que ses yeux étaient comme deux saphirs. Comme il n'était pas barde et qu'il avait d'autres chats à fouetter que de faire de la poésie, ils étaient simplement bleu sombre."

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    Couverture du livre « Les chevaliers des Highlands Tome 2 : le faucon » de Monica Mccarty aux éditions J'ai Lu

    Spitfire89 sur Les chevaliers des Highlands Tome 2 : le faucon de Monica Mccarty

    Second tome de la saga "Les chevaliers des Highlands", romance historique, dans ce nouveau volet en plus de guerre de clan et de conflit Écosse-Angleterre suite à la décapitation de William Wallace, l'autrice va introduire le monde des pirates dans cet opus.
    Un second bien plus passionnant que...
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    Second tome de la saga "Les chevaliers des Highlands", romance historique, dans ce nouveau volet en plus de guerre de clan et de conflit Écosse-Angleterre suite à la décapitation de William Wallace, l'autrice va introduire le monde des pirates dans cet opus.
    Un second bien plus passionnant que le précédent, Elyne de Burgh et Erik MacSorley forme un couple bien plus attachant et approfondie. Deux protagonistes qui contraste, une histoire dépaysante, une rythme de lecture fluide et addictif. De l'humour, un contexte historique, du suspense, de la tension et de la sensualité. Je n'ai pas été déçu par ce volet.

    "Il sentait surtout un élancement dans son entrejambe. Il ne put résister à l'envie de la taquiner.
    — Tu peux me toucher autant que tu veux, ajouta-t-il.
    Quand elle lui répondit avec un léger sourire et un hochement de tête, il cru qu'elle n'avait pas compris son allusion lubrique... jusqu'à ce qu'elle serre sa main sans ménagement.
    — Aïe ! Ça fait mal !
    La diablesse l'avait fait exprès. Elle écarquilla ses grands yeux noisette et battit innocemment des paupières.
    — Vraiment ? Désolée. Vous êtes moins coriace que je ne le croyais. Je tâcherai d'être plus délicate.
    Il jugea préférable de ne plus l'asticoter tant qu'elle n'aurait pas terminé. En outre, il n'en avait pas besoin, sa proximité la déstabilisait déjà suffisamment."