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Mcguire Ian

Mcguire Ian
Ian McGuire a grandi près de Hull, en Angleterre, et étudié dans les universités de Manchester et de Virginie. Il a cofondé le Centre pour la Nouvelle Écriture à l'université de Manchester et enseigne actuellement l'écriture créative à l'université de Nord Texas. Ses écrits ont été publiés dans l... Voir plus
Ian McGuire a grandi près de Hull, en Angleterre, et étudié dans les universités de Manchester et de Virginie. Il a cofondé le Centre pour la Nouvelle Écriture à l'université de Manchester et enseigne actuellement l'écriture créative à l'université de Nord Texas. Ses écrits ont été publiés dans le Chicago Review et le Paris Review. Dans les eaux du Grand Nord est son premier roman à paraître en France.

Avis sur cet auteur (6)

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    Couverture du livre « Celui qui sait » de Mcguire Ian aux éditions 10/18

    Floflob1976 sur Celui qui sait de Mcguire Ian

    L'histoire ce passe en Irlande au XIXème siècle. Elle nous porte à travers le récit au conflit entre Anglais et Irlandais. O'Connor un policier va demander à son neuve d'infiltrer le groupe d'activiste Irlandais. La suite, il faut la lire. Genre Policier, société, action.

    L'histoire ce passe en Irlande au XIXème siècle. Elle nous porte à travers le récit au conflit entre Anglais et Irlandais. O'Connor un policier va demander à son neuve d'infiltrer le groupe d'activiste Irlandais. La suite, il faut la lire. Genre Policier, société, action.

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    Couverture du livre « Celui qui sait » de Mcguire Ian aux éditions 10/18

    Spitfire89 sur Celui qui sait de Mcguire Ian

    Avec la grande famine entre 1845 et 1852, la population irlandaise est devenue une diaspora répartie essentiellement entre l’Angleterre et les Etats Unis. Stéphane Doyle un soldat de la guerre de sécession mais d’origine irlandaise rejoint en 1867 l’ancien monde à Manchester pour préparé une...
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    Avec la grande famine entre 1845 et 1852, la population irlandaise est devenue une diaspora répartie essentiellement entre l’Angleterre et les Etats Unis. Stéphane Doyle un soldat de la guerre de sécession mais d’origine irlandaise rejoint en 1867 l’ancien monde à Manchester pour préparé une guerre d’indépendance de l’Irlande, pour cela il va rejoindre les Feniens, une société secrète dont trois militants sont pendus pour avoir assassiné un policier Charles Brett et côté irlandais la réplique se prépare. Mais Stéphane fera face à James O’Connor, chef de la police d’origine irlandaise qui tente de faire échouer pacifiquement les plans de cette organisation pour cela il est chargé de les infiltrer.

    Une guerre personnelle, chacun voulant tuer l’autre va alors débuter. Pourquoi ? Qui va mourir ?

    Un polar historique, sur fond d’indépendance, espionnage, famille déchiré, fracture dans la population. Un livre agréable, beaucoup d’action de suspense et de rebondissement, les personnages son complexes. Nous allons en apprendre énormément sur le contexte historique de se pays.

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    Couverture du livre « Dans les eaux du Grand Nord » de Mcguire Ian aux éditions 10/18

    Les Lectures de Cannetille sur Dans les eaux du Grand Nord de Mcguire Ian

    « L’argent fait ce qu’il veut. Il se fiche bien de ce qu’on préfère. Si tu lui barres la route d’un côté, il s’en ouvre une autre ailleurs. Je ne peux pas l’empêcher. Je ne peux pas dire à l’argent ce qu’il doit faire, ni où il doit aller. » Alors, puisque la chasse à la baleine ne nourrit plus...
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    « L’argent fait ce qu’il veut. Il se fiche bien de ce qu’on préfère. Si tu lui barres la route d’un côté, il s’en ouvre une autre ailleurs. Je ne peux pas l’empêcher. Je ne peux pas dire à l’argent ce qu’il doit faire, ni où il doit aller. » Alors, puisque la chasse à la baleine ne nourrit plus aussi bien son homme qu’autrefois, la ressource mais aussi les débouchés se faisant de plus en plus rares, pour le capitaine Brownlee ce sera, au seuil de cet hiver 1859, la dernière campagne qu’il entreprendra avec son navire dans les eaux du Grand Nord. Soit il parviendra à remplir ses cales de graisse de baleine – et il tuera ses hommes à la tâche pour cela s’il le faut –, soit il coulera « accidentellement » son bateau dans les glaces pour toucher une grasse prime d’assurance. Le voilà donc qui met le cap vers les eaux du Groenland, avec pour équipage le pire assemblage de sac et de corde qui soit, tous de furieux durs-à-cuire n’ayant guère de recommandable que leur force méchamment brutale, mais expérimentée. L’enfer sera glacé et l’aventure dans la blancheur arctique très noire...

    Un intrus s’est toutefois malgré lui glissé à bord. Ex-chirurgien chassé de l’armée britannique pour une faute commise en Inde, Patrick Summer n’a pas pu faire la fine bouche, et désormais compagnon de galère de cet effrayant et peu ragoûtant ramassis, se retrouve non seulement médecin de bord, mais aussi à prêter main forte aux marins. Il est l’esprit élevé embarqué sur le Volunteer, le seul à faire preuve de raison et à s’attacher au « bien » dans cette expédition loin de la civilisation et de la loi. Déjà durement confronté à la souffrance des hommes trimant sans répit dans des conditions dantesques et périlleuses, à l’immonde boucherie que représentent le massacre et le dépeçage des baleines, phoques et ours, à la promiscuité dans la puanteur de la graisse et du sang, il va en plus devoir faire face à la noirceur de l’âme humaine, au « mal » le plus absolu, en la personne de Henry Drax, un harponneur brutal et sanguinaire au dernier degré, dont il est le seul à avoir compris le rôle dans la mort mystérieuse d’un jeune mousse peu de temps après l’appareillage.

    Entre les rigueurs d’un environnement polaire ne pardonnant aucune erreur et le combat entre eux de fauves humains sans foi ni loi, y aura-t-il seulement des survivants ? Les péripéties s’enchaînent sans trêve, dans une violence crue curieusement relatée dans une telle sécheresse factuelle, presque prosaïque dans son absence d’émotion et de parti pris, qu’on la traverse comme anesthésié par le choc et l’urgence, lorsque par réflexe l’on oublie de penser et de ressentir pour se concentrer sur l’action face au danger. Ici, pas de romantisme, ni d’héroïsme : tandis que les personnages font face comme ils peuvent, la plupart en bêtes sauvages, au rouleau féroce de la vague sur le point de les écraser, seules quelques bribes de moralité survivent ça et là, éclats échappés au sauve-qui-peut général.

    Et plus encore que l’immersive aventure relatée avec une exactitude des plus convaincantes, c’est bien cette mise à nu de la nature humaine profonde, la révélation de ce qui subsiste lorsque les rudesses de l’existence, l’âpreté d’un environnement et la bataille pour la survie font voler en éclats l’être social et son appareillage de lois et de conventions, qui font tout l’intérêt de ce roman, classé parmi les dix meilleurs livres de 2016 par le New York Times.

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    Couverture du livre « Celui qui sait » de Mcguire Ian aux éditions 10/18

    Françoise Sinard sur Celui qui sait de Mcguire Ian

    L'Irlande est un pays qui m'intéresse normalement. Mais ce polar historique se passe au milieu du XIXe siècle ce qui n'est pas trop mon truc. De plus, les personnages, irlandais et anglais, n'ont pas trop attiré ma sympathie. Ils passent beaucoup de temps à boire, ce qui ne m'intéresse guère non...
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    L'Irlande est un pays qui m'intéresse normalement. Mais ce polar historique se passe au milieu du XIXe siècle ce qui n'est pas trop mon truc. De plus, les personnages, irlandais et anglais, n'ont pas trop attiré ma sympathie. Ils passent beaucoup de temps à boire, ce qui ne m'intéresse guère non plus et à s'entre-tuer… Bof vraiment pas une histoire pour moi.