"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Nous sommes au Moyen Age. Lenain, riche négociant, décide de quitter sa ville quand la peste commence à décimer la population. Son fils, Matthieu, décide de rester et de poursuivre le travail de son père. Il tombe amoureux d'une jeune juive, Myriam. Elle est aussi la nièce d'un ami de son père, Abraham. L'époque n'est pas réjouissante pour les Juifs, qu'on soupçonne d'être la cause de la peste. La terreur se répand et la persécution des Juifs en même temps. La famille de Myriam n'y échappe pas et Matthieu la prend donc sous son aile. Ils doivent un moment fuir la ville mais il y a toujours chez eux l'espoir de revenir et de pouvoir s'aimer. A leur retour, c'est finalement la lèpre qui s'étend et leur jeune serviteur, qui protégeait Myriam dans les rues, est touché. Myriam ne se sent plus en sécurité.
L'obscurantisme et la haine est omniprésente dans ce roman. Très belle histoire, courte et facile à lire.
Nous sommes au Moyen Age. Lenain, riche négociant, décide de quitter sa ville quand la peste commence à décimer la population. Son fils, Matthieu, décide de rester et de poursuivre le travail de son père. Il tombe amoureux d'une jeune juive, Myriam. Elle est aussi la nièce d'un ami de son père, Abraham. L'époque n'est pas réjouissante pour les Juifs, qu'on soupçonne d'être la cause de la peste. La terreur se répand et la persécution des Juifs en même temps. La famille de Myriam n'y échappe pas et Matthieu la prend donc sous son aile. Ils doivent un moment fuir la ville mais il y a toujours chez eux l'espoir de revenir et de pouvoir s'aimer. A leur retour, c'est finalement la lèpre qui s'étend et leur jeune serviteur, qui protégeait Myriam dans les rues, est touché. Myriam ne se sent plus en sécurité.
L'obscurantisme et la haine est omniprésente dans ce roman. Très belle histoire, courte et facile à lire.
Nous sommes en Normandie, dans le Perche, à la fin du XIX siècle, dans un monde rural et pauvre. Un enfant est attendu dans le foyer d’Eugénie et Joseph. Cet enfant semble se développer normalement , après sa première année, le médecin a remarqué que l’enfant n’avait pas grandi .
Julien souffrait d’une maladie qui atteignait les os. Aucun traitement n’était connu.
Eugénie fut affectée par ce diagnostic. Il appartenait à la catégorie des nains. Son aspect était tout à fait harmonieux. L’explication de ce défaut de croissance fut associée à maintes raisons. Julien continua son chemin de vie, alla à l’école. Il fut le souffre-douleur de bon nombre d’enfants. Ils l’avaient baptisé « le nain« . Seule la maîtresse fut bienveillante, elle lui apprenait les lettres de l’alphabet. Elle prenait soin de lui. Ce temps fut pour Julien une période heureuse. Puis la maitresse fut emportée par une maladie.
Dès lors pour lui rester fidèle, il décida de ne plus aller à l’école .
Peu à peu il s’installa dans l’oisiveté, puis les année passèrent. Il fut appelé comme les autres pour effectuer ses classes.
Quelques semaines plus tard circulait une carte postale qui titrait » le plus petit conscrit de France ». Julien avait évincé tous ces camarades à son profit, ils n’étaient plus que des figurants.
A partir de ce jour-là , la vie de Julien changea, il avait été remarqué par Oscar Mauclair, imprésario.
Martine Gasnier évoque la différence et démontre que tout individu a droit au respect des uns et des autres.
J’ai aimé suivre l’histoire de Julien, aussi cruelle soit-elle. L’auteur exploite bien ce genre, et montre bien la cruauté des individus, face à un être « différent ».
Depuis la fin du XXe siècle, des associations se constituent dans plusieurs pays pour favoriser les liens sociaux entre personnes naines (rencontres, information), ou bien pour travailler à la promotion et la défense des droits des personnes naines. Certaines associations militent pour la reconnaissance du nanisme comme handicap, en raison notamment d’un environnement moderne inadapté aux individus de petite taille.
Septembre 1860 dans le Perche, la gendarmerie du paisible bourg de Bazoches-sur-Hoesne s'émeut : la rumeur accuse Julie Clain, demeurant à la ferme de La Motte, d'être coupable d'infanticide. Une affaire reposant sur le seul rapport d'expertise d'un médecin local et quelques témoignages à charge qui conduiront l'accusée devant la Cour d'Assises de l'Orne. Son avocat, Maître Léon de la Sicotière, personnalité ornaise dont le souvenir est encore très vivace, sera son défenseur...
Martine Gasnier a eu accès aux différentes pièces de la procédure, notamment le rapport d’expertise médicale et la pléthore de témoignages, à charge et à décharge et elle se rend compte que l’accusation tient seulement sur la base de rumeurs, et décide de s’emparer du sujet en faisant de l’accusée, Julie Clain, son héroïne. Beaucoup d'éléments sont vrais (les noms, les faits) et ce roman met en lumière la justice et ses failles.
Il est pas mal mais trop polar pour moi....
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