Les meilleurs albums, romans, documentaires, BD à offrir aux petits et aux plus grands
Il y a le ciel, le soleil et la mer comme dirait la chanson, il fait chaud, c’est étouffant, de drôles de personnages se frôlent dans leurs vies oisives…
Un certain nommé Lupo, peintre et son chien, Line, une adolescente qui est dépassée, submergée. Tom un petit garçon qui vit sa vie et pose des questions. Nils et Tessa, un couple qui ne pensent qu’à faire la fête. Et justement au cours d’une soirée arrosée, une femme blonde disparaît et tout semble remonter à la surface pour nos personnages. Qui est donc cette mystérieuse Vanina ? Fuites, secrets et le temps qui passe, la nostalgie.
Je n’ai pas accroché, difficile de comprendre et de capter ce que l’auteure a voulu soulever par cette histoire qui m’a parue décousue, sans intérêt.
Je continue mes lectures dans le cadre des « 68premièresfois » et c’est une belle aventure car je fais de belles découvertes. J’ai lu ce livre d’une traite et ai été capté par ce climat ambivalent et ai aimé être surprise au fils des pages.
« Le même ciel » est un texte étrange car sous des apparences de chronique estivale, nous allons découvrir les failles et les secrets de ces différents personnages. Chaque chapitre donne la parole à un personnage de cette histoire. On entendra alors les adultes : Nils qui tente d’écrire un roman, Lupo le peintre de nénuphars, qui vit seul, Tessa, la femme de Nils et son fichier des filles qui ne devraient pas être mortes. Vanina Silver, une jeune femme que la police recherche après son étrange disparition. Des enfants : Tom, un petit garçon espiègle, qui part avec le chien du voisin à la découverte du monde et pose toujours des questions impossibles, » les poissons ont un cerveau ? Où et comment dorment les oiseaux ? » … Line et Joy, les sœurs de Tom, Line est une sorte de Lolita. Et il y a aussi des animaux à qui l’auteur donne aussi la parole et dont on entend la voix : Le chien, Avocado Shrimp, le perroquet Célestino nous racontent à leur manière la vie dans une ville balnéaire en plein été caniculaire. Il ne faut pas oublier des poissons rouges..
Ce livre qui nous parle d’un lieu balnéaire, des plages, des villas où on organise des soirées, des aventures dans la forêt, des sorties de boîtes de nuit, des nuits dans des hôtels. Cela pourrait être léger comme des vacances d’été, tranquilles. Mais l’auteure arrive à nous entraîner dans des climats mystérieux : une baignade peut se transformer en une noyade, partir avec un homme séduisant rencontré dans une fête peut se transformer en une fin de nuit seule sur le bord d’une route. Les différents personnages nous sont décrits avec leurs espoirs, leurs failles. L’auteure arrive à mêler dans son texte les différents âges de la vie : on n’oubliera pas de sitôt ce petit Tom, espiègle et qui découvre la vie et veut comprendre. Il pose aux adultes qui l’entourent des questions logiques mais qui n’ont pas toujours des réponses rationnelles. Ces hommes qui ne sont plus tout jeunes mais pas tout à fait vieux et qui cherchent un chemin dans la vie : l’un essaie d’écrire, l’autre peint des nénuphars et se laisse tenter par le corps des jeunes filles, rencontrées dans les soirées. Les femmes se cherchent aussi : elles sont mères. Elles sont des jeunes filles, qui aiment qu’on leur dise qu’elles deviennent belles, mais attention, que faire de cette beauté ! Et on n’est pas prêt non plus d’oublier le chien, découvert dans une boîte d’avocat et qui a un regard philosophe sur ce qu’il l’entoure, que ce soit la vie de son maître ou celui de ce petit garçon avec qui il aime tant se balader !!
Un premier roman riche et plaisant à lire, avant nos vacances d’été ( !!!). J’ai donc beaucoup aimé ce sentiment décalé et cette étrangeté.
« A-t’on tellement d’amis dans une vie avec lesquels on a passé – comment est ce possible ? du quart de siècle au demi siècle, avec lesquels on a traversé les tempêtes, les beuveries, les aveuglements et les désespoirs sans jamais sombrer, ou de moins sans lâcher la main ? »
« Est-ce qu’on en fait toujours assez pour atteindre ses buts, pour sauver ceux qu’on aime pour apaiser ses peurs ? On devrait se poser la question. »
« On croit qu’on gagne des choses dans la vie, mais en fait on perd tout. Dès qu’on st né, çà commence. L’enfance, la beauté, la santé, les gens qu’on aime.. Tout disparaît sans faire de bruit.. La vie devrait s’appeler la perte, vu qu’au fond, il n’st question que de çà. Etre en vie, c’est perdre ? Parfois on se perd soi même, c’est dire ! »
Je continue mes lectures dans le cadre des « 68premièresfois » et c’est une belle aventure car je fais de belles découvertes. J’ai lu ce livre d’une traite et ai été capté par ce climat ambivalent et ai aimé être surprise au fils des pages.
« Le même ciel » est un texte étrange car sous des apparences de chronique estivale, nous allons découvrir les failles et les secrets de ces différents personnages. Chaque chapitre donne la parole à un personnage de cette histoire. On entendra alors les adultes : Nils qui tente d’écrire un roman, Lupo le peintre de nénuphars, qui vit seul, Tessa, la femme de Nils et son fichier des filles qui ne devraient pas être mortes. Vanina Silver, une jeune femme que la police recherche après son étrange disparition. Des enfants : Tom, un petit garçon espiègle, qui part avec le chien du voisin à la découverte du monde et pose toujours des questions impossibles, » les poissons ont un cerveau ? Où et comment dorment les oiseaux ? » … Line et Joy, les sœurs de Tom, Line est une sorte de Lolita. Et il y a aussi des animaux à qui l’auteur donne aussi la parole et dont on entend la voix : Le chien, Avocado Shrimp, le perroquet Célestino nous racontent à leur manière la vie dans une ville balnéaire en plein été caniculaire. Il ne faut pas oublier des poissons rouges..
Ce livre qui nous parle d’un lieu balnéaire, des plages, des villas où on organise des soirées, des aventures dans la forêt, des sorties de boîtes de nuit, des nuits dans des hôtels. Cela pourrait être léger comme des vacances d’été, tranquilles. Mais l’auteure arrive à nous entraîner dans des climats mystérieux : une baignade peut se transformer en une noyade, partir avec un homme séduisant rencontré dans une fête peut se transformer en une fin de nuit seule sur le bord d’une route. Les différents personnages nous sont décrits avec leurs espoirs, leurs failles. L’auteure arrive à mêler dans son texte les différents âges de la vie : on n’oubliera pas de sitôt ce petit Tom, espiègle et qui découvre la vie et veut comprendre. Il pose aux adultes qui l’entourent des questions logiques mais qui n’ont pas toujours des réponses rationnelles. Ces hommes qui ne sont plus tout jeunes mais pas tout à fait vieux et qui cherchent un chemin dans la vie : l’un essaie d’écrire, l’autre peint des nénuphars et se laisse tenter par le corps des jeunes filles, rencontrées dans les soirées. Les femmes se cherchent aussi : elles sont mères. Elles sont des jeunes filles, qui aiment qu’on leur dise qu’elles deviennent belles, mais attention, que faire de cette beauté ! Et on n’est pas prêt non plus d’oublier le chien, découvert dans une boîte d’avocat et qui a un regard philosophe sur ce qu’il l’entoure, que ce soit la vie de son maître ou celui de ce petit garçon avec qui il aime tant se balader !!
Un premier roman riche et plaisant à lire, avant nos vacances d’été ( !!!). J’ai donc beaucoup aimé ce sentiment décalé et cette étrangeté.
« A-t’on tellement d’amis dans une vie avec lesquels on a passé – comment est ce possible ? du quart de siècle au demi siècle, avec lesquels on a traversé les tempêtes, les beuveries, les aveuglements et les désespoirs sans jamais sombrer, ou de moins sans lâcher la main ? »
« Est-ce qu’on en fait toujours assez pour atteindre ses buts, pour sauver ceux qu’on aime pour apaiser ses peurs ? On devrait se poser la question. »
« On croit qu’on gagne des choses dans la vie, mais en fait on perd tout. Dès qu’on st né, çà commence. L’enfance, la beauté, la santé, les gens qu’on aime.. Tout disparaît sans faire de bruit.. La vie devrait s’appeler la perte, vu qu’au fond, il n’st question que de çà. Etre en vie, c’est perdre ? Parfois on se perd soi même, c’est dire ! »
Lechatquilit.e-monsite.com
Le même ciel de Ludivine RIBEIRO
Ce livre ne m’a pas du tout emballé. Une fois terminé, j’ai l’impression de ne rien avoir compris de l’histoire, d’un bout à l’autre.
Je laisse donc les autres lecteurs juges de ce qu’ils vont découvrir au fil des pages.
Extraits :
Ma chérie, tu es sublime ! S’extasie un homme en veste de lin.
Merci, sourit Nora Sogni. L’ennui c’est que ça me prend de plus en plus de temps.
Au moment où Tom traverse les plumes roses des tamaris, un papillon lui frôle la joue. Ça fait comme un baiser de chat, un chatouillis de moustaches douces, c’est si délicieux qu’il en lâche presque le bocal ou s’agite un insecte furieux.
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