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Luc-Michel Fouassier

Luc-Michel Fouassier
Luc-Michel Fouassier vit en région parisienne. Deux ans de vacances et plus est son troisième recueil après Histoires Jivaro et Les hommes à lunettes n'aiment pas se battre parus aussi chez Quadrature. Il est également l'auteur de plusieurs romans.

Avis sur cet auteur (11)

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    Couverture du livre « Cumulonimbus » de Luc-Michel Fouassier aux éditions Julliard

    Rédactrice sur Cumulonimbus de Luc-Michel Fouassier

    Calypso a 16 ans, elle a disparu, sa mère est photographe et donne l'illusion à travers un nouveau projet de livre autour des paréidolies (ces images que l'on aperçoit dans le dessin des nuages).
    Difficile toutefois de se laisser aller à la contemplation, son projet professionnel est un...
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    Calypso a 16 ans, elle a disparu, sa mère est photographe et donne l'illusion à travers un nouveau projet de livre autour des paréidolies (ces images que l'on aperçoit dans le dessin des nuages).
    Difficile toutefois de se laisser aller à la contemplation, son projet professionnel est un pansement bien ténu car elle veut évidemment retrouver sa fille. Sous la surface, les souvenirs refluent et le désir de la revoir devient de plus en plus prégnant.
    J'avais déjà eu le plaisir de lire Luc-Michel Fouassier avec son savoureux Les pantoufles (à lire de toute urgence si ce n'est pas déjà fait ! Mais attention, prévoir obligatoirement une paire de "vraies" charentaises…), il revient ici dans un registre plus sensible.
    Ce livre m'a beaucoup émue, j'y suis sans doute aussi très réceptive car j'ai une adolescente à la maison et ce livre m'a fait réfléchir à notre relation, ou encore celles que j'entretenais avec ma mère…
    Avoir 16 ans c'est avoir le monde devant soi, et les adultes ne sont pas toujours disposés à l'entendre.
    L'incompréhension peut détricoter les liens aussi vite qu'ils se sont noués (ces liens qu'on pense immuables et qui se tissent dès la naissance ou parfois même avant), il suffit parfois d'un mot, d'un geste pour envoyer tout cela valdinguer en un instant, même si sous la brume de colère vibre encore l'indestructible amour filial.
    Luc-Michel Fouassier met le doigt sur cette fragilité que l'on retrouve aussi dans le spectacle éphémère des nuages, c'est forcément touchant.
    J'ai tourné les pages sans pouvoir m'arrêter, poussée par l'intrépide bourrasque qui faisait défiler les nuages en même temps que les émotions.

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    Couverture du livre « Les pantoufles » de Luc-Michel Fouassier aux éditions L'arbre Vengeur

    dominique petrone sur Les pantoufles de Luc-Michel Fouassier

    Un homme se prépare pour aller travailler, sort de chez lui et la...stupéfaction!!! il oublie ses clefs a l'intérieur de l'appartement.
    Mais le pire n'est pas la, le pire est qu'il est en pantoufles et qu'il va devoir affronter sa journée ainsi.
    Journée qui commence par la rue et ses passants,...
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    Un homme se prépare pour aller travailler, sort de chez lui et la...stupéfaction!!! il oublie ses clefs a l'intérieur de l'appartement.
    Mais le pire n'est pas la, le pire est qu'il est en pantoufles et qu'il va devoir affronter sa journée ainsi.
    Journée qui commence par la rue et ses passants, le métro, les collègues.
    On trouve vite que le récit se passe un peu trop bien et qu'en réalité je ne suis pas sure que certains d'entre nous aurait trouver un stratagème pour vite se sortir de la.
    Mais on suit notre héros qui instaurera même une mode et un style jusque sur les cours de tennis.
    Encore une fois une lecture sympa, loin du coup de cœur mais qui propose un moment distrayant.

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    Couverture du livre « Les pantoufles » de Luc-Michel Fouassier aux éditions L'arbre Vengeur

    Passemoilelivre sur Les pantoufles de Luc-Michel Fouassier

    Par inadvertance ou distraction, le narrateur quitte son appartement en claquant la porte et s’aperçoit qu’il a encore ses charentaises aux pieds. Ses clefs étant restées à l’intérieur, il est obligé d’assumer sa tenue vestimentaire, costard et pantoufles. Ce petit roman est un trésor d’humour,...
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    Par inadvertance ou distraction, le narrateur quitte son appartement en claquant la porte et s’aperçoit qu’il a encore ses charentaises aux pieds. Ses clefs étant restées à l’intérieur, il est obligé d’assumer sa tenue vestimentaire, costard et pantoufles. Ce petit roman est un trésor d’humour, d’auto dérision, un régal de lecture qui fait un peu penser à « le discours » de Fabcaro. Des micro aventures se succèdent, le style est alerte, tout est bon pour passer un excellent moment !

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    Couverture du livre « Les pantoufles » de Luc-Michel Fouassier aux éditions L'arbre Vengeur

    Morgane Maelou sur Les pantoufles de Luc-Michel Fouassier

    Ne jamais sortir de chez soi en pantoufles avec ses clefs à l'intérieur ! Ou alors être prêt à l'aventure urbaine et sociale. Le héros de cette épopée urbaine va éprouver le pouvoir de ses charentaises et de quelle manière sa vie, pourtant si banale, peut en être changée. Face à ses collègues de...
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    Ne jamais sortir de chez soi en pantoufles avec ses clefs à l'intérieur ! Ou alors être prêt à l'aventure urbaine et sociale. Le héros de cette épopée urbaine va éprouver le pouvoir de ses charentaises et de quelle manière sa vie, pourtant si banale, peut en être changée. Face à ses collègues de travail, sa famille, ses amis, les forces de l'ordre, voire la confrérie des farfelus, il se lance pendant plusieurs jours dans un combat inattendu pour imposer sa si tranquille façon de marcher et de regarder les gens, à hauteur de chaussettes. Ce numéro de funambule s'achèvera devant un spectacle de Guignol, joliment.

    Le rythme de la marche en charentaises donne le tempo en mots et en images de ce roman surprenant. @lucmichelfouassier nous place dans la vie d'un gars qui ne perçoit pas que les passants ou les collègues de bureau puissent l'etiqueter farceur, excentrique, salarié en burn out ou philosophe anticonformiste juste parce qu'il décide de transformer une bêtise en un joli moment de liberté.

    Ce roman simplement poétique propose un grand pas de côté -en pantoufles françaises- pour regarder le monde différemment.