"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
La première chose que je dois dire est que j'ai été interpellée par le titre du livre! Je me suis dis lorsque j'ai lu ce titre pour la première fois, que le terme Brocoli devait être utilisé dans le seul but de montrer que cette nouvelle est une parodie de la trilogie 50 nuances de Grey. Et puis j'ai lu le résumé ainsi que le livre et là......... je me suis aperçue qu'il était réellement question de brocolis! Je dirai même ce légume à l'aspect étrange est un élément important et très présent dans l'histoire! Vous me direz, en ce moment entre Le Cupcake Club et Deux nuances de Brocoli, mes lectures tournent toutes autour de la nourriture, et bien vous avez raison! Sauf que pour cette parodie, la nourriture se consomme d'une autre façon.
Il est question dans cette histoire de SL ( sexe legumier!) tout en restant dans l'esprit de Cinquante nuances de Grey, c'est à dire dans le monde du BDSM! J'ai trouvé cette idée de jeu sexuel avec des légumes verts très originale et surtout....très drôle!
En effet l'humour est le maître mot de ce livre! J'avoue avoir eu peur de tomber sur un copié-collé du bestseller, comme on peut en trouver des milliers d'autres (qui n'osent même pas se faire appeler PARODIES alors qu'ils copient le concept de 50 nuances de Grey) mais cela n'a pas été du tout le cas ici! Certes il s'agit d'un homme riche qui a une vie sexuelle hors du commun et qui va initier une jeune fille pauvre travaillant dans un magasin de bricolage.
Hormis cela, je trouve que le caractère de Amalia est très différent de celui de Anastasia. Si vous avez lu ma chronique sur 50 nuances de Grey vous saurez que je n'ai vraiment pas aimé l’héroïne car elle passe son temps à vouloir Christian, ne plus vouloir Christian, vouloir Christian, ne plus vouloir Christian ENCORE UNE FOIS etc etc etc.... et ça ne se termine jamais..... Alors qu'ici, Amalia contrôle ce qu'elle fait, elle prend des décisions radicales qu'elle assume pleinement, elle gagne peu à peu confiance en elle, elle qui ne s'aime pas au début de l'histoire à cause de sa taille 44 mais qui à la fin de la nouvelle s'affirme et aura impose ses choix. Pour résumer je dirais que c'est une femme forte qui ne se laisse pas acheter par l'argent des autres. Elle est tout le contraire d'Anastasia qui passe son temps à hésiter. Comme vous pouvez vous en douter, je peux vous affirmer qu'au niveau des personnages j'ai largement préféré la parodie à l'oeuvre originale!
Pour ce qui est du concept aussi, j'ai apprécié découvrir petit à petit la créativité de l'auteur. Le sexe légumier n'est pas quelque chose de courant et étant très peu renseignée sur le sujet, j'ose supposer que l'auteure l'a tout simplement inventé. En tout cas, je lui tire mon chapeau, car elle a réussi à rendre cela crédible de par son écriture fluide et surtout de par les arguments que donne Edouard pour convaincre Amalia d'accepter ce jeu sexuel.
Je trouve cette nouvelle très fraîche, très drôle, elle nous fait entrer dans un univers tout droit sorti de l'imagination de l'auteure. Je pense que c'est une lecture indispensable pour ceux qui ont aimé cinquante nuances de Grey mais qui comme moi ont été énervés par la mentalité de l’héroïne.
La seule chose que je pourrai reprocher à ce livre c'est de ne pas fournir assez de détails sur les scènes incluant des légumes! Mais puisqu'il s'agit d'une nouvelle de 120 pages, ce manque de détails peut se comprendre! En tout cas, je ne peux que vous recommander cette lecture!
Imaginez un monde où le SM devient le SL, sexe légumier, où les fouets sont remplacés par des poireaux, où les crèmes aphrodisiaques sont remplacées par de la crème de brocolis, …
Où le beau Christian Grey devient Edouard Green, où Anastasia devient Amalia, fille toute aussi timide mais encore plus nunuche (si c’est possible) et vous aurez le ton de cette nouvelle qu’est « deux nuances de brocolis »
Avec sa plume agréable, fluide, Marie Laurent nous livre une parodie loufoque des fameuses 50 nuances. On y retrouve tous les ingrédients du premier tome, le contrat, l’achat de la corde, l’homme riche qui initie sa partenaire à des plaisirs insoupçonnés, … Ouf l’auteure a oublié, j’espère volontairement, la déesse intérieure et ses saltos.
On se prend au jeu, on sourit, on rit et on finit par regretter ces 120 pages soient déjà finies, qu’il n’y ait pas une suite, que l’auteure ne nous en dévoile pas plus sur le passé de Green.
Si vous cherchez une œuvre agréable, drôle qui vous fera passer un bon moment et regarder les légumes d’une autre manière, n’hésitez pas à foncer en librairie.
Le roman débute sur une rupture douloureuse et cuisante, une femme éconduite, évincée pour cause de laisser aller. Oui, je sais, c'est moche mais heureusement l'histoire ne s'arrête pas là. La prise de conscience est réelle, et elle va se reprendre en main et comment ! ? Avec une pincée de persuasion et beaucoup de panache.
La métamorphose est attrayante et divertissante à souhait. Il faut reconnaître qu'elle met le paquet, mais il ne faudrait quand même pas qu'elle pêche dans l'excès inverse cette chère petite... D'habile séductrice à manipulatrice cruelle, il n'y a qu'un pas et Eléonor va bientôt basculer dans l'odieuse perfidie.
L'auteur nous offre ici une réécriture moderne des "Liaisons dangereuses" assez pertinente. L'écriture est limpide, claire et coule toute seule. Le récit est trouble, addictif et viscéralement dangereux. Les personnages sont immatures et jouent avec le feu dans cette intrigue malsaine que pourtant, nous suivons curieusement, avec un insoupçonnable amusement.
Une foule de sentiments m'a habitée pendant cette histoire et j'avais envie parfois de gifler les personnages...
La fin tourne court, elle est de mon point de vue assez décevante. Cependant dans l'ensemble, l'aventure reste séduisante et permet de nous divertir.
Quoi demander de plus finalement ?
Le 4e de couverture :
Jeune anglaise frivole, Susan ne s’intéresse guère à l’histoire de son pays, contrairement à son fiancé James. Mais le décès d’un oncle la propulse dans un cottage sur les bords du Loch Leven en Écosse, où Marie Stuart a été emprisonnée en 1567. Elle se découvre se surprenantes affinités avec la reine déchue, tandis que flotte sur elle l’ombre de la mystérieuse et antipathique de Moïra MacGregor, ancienne gouvernante de son oncle. Et son voyage en Écosse se transforme en un voyage temporel inattendu.
Tout d’abord, je voudrais remercier l’auteure, Marie Laurent et les Editions Artalys de m’avoir permis de lire cet ouvrage.
Lors de cette aventure, nous suivons Susan Guthrie, jeune londonienne frivole n’ayant eu aucun souci dans la vie à part celui de courir les magasins, son père étant mort quand elle était bébé et ayant laissé à sa maman une confortable assurance-vie. Elle s’est fiancée il y a peu de temps à James Clayton, archiviste et pas du tout originaire du même monde que Susan. Autant dire qu’ils n’ont pas grand-chose en commun à part leur amour qui est très fort.
Ce qui va les rapprocher, c’est le voyage qu’ils vont faire en Écosse pour gérer la succession de l’oncle de Susan décédé récemment, oncle qu’elle n’a jamais vu.
L’accueil de la gouvernante du cottage de l’oncle défunt, Moïra MacGregor, est plus que glacial. Leur séjour sera en étroite relation avec la Reine défunte Mary Stuart d’une part, car Susan lui ressemble étrangement, et car le cottage est situé juste en face de l’ile de Loch Leven où Mary Stuart a été emprisonnée pendant plus d’une année.
Susan, poussée par James, décide de profiter de l’occasion pour aller le visiter. Et là, toute l’histoire s’enchaine. Lors d’un repas au restaurant, Susan a un malaise dans les toilettes et se « retrouve » dans la peau de Mary Stuart.
J’ai sélectionné ce livre car l’histoire de prime abord me semblait intéressante et mystérieuse. Malheureusement, je n’y ai pas cru un seul instant ; j’ai tout de suite découvert le subterfuge de l’auteure pour nous faire croire à un flashback. Ce qui fait que pour moi, il était évident que ce qui leur arrivait était tout simplement une arnaque. Peut-être est-ce dû au fait que c’est une histoire courte (une cinquantaine de pages) et qu’il n’y a donc pas de possibilité de développer plus loin et étayer l’histoire.
De plus, la fin ne m’a pas plût. J’ai été déçue car l’auteure ouvre une porte qui méritait d’être développée, créant chez moi une attente insatisfaite. Je n’en vois pas l’intérêt. Pourquoi finir ainsi et ne pas s’arrêter un moment sur cette rencontre tant attendue ?
En revanche, de gros points positifs : l’auteur a une belle plume, les descriptions des lieux et personnages sont très bien faits. Ses recherches sur la vie et la captivité de Mary Stuart sont très fournies.
L’évolution du caractère de Susan de même que son changement radical de vie sont un plus dans cette histoire.
Lire cette histoire a quand même été un bon moment même si je reste sur ma faim.
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