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Kiyoko Murata

Kiyoko Murata

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Avis sur cet auteur (4)

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    Couverture du livre « Le couvreur et les rêves » de Kiyoko Murata aux éditions Actes Sud

    Emmanuelle Luang sur Le couvreur et les rêves de Kiyoko Murata

    La narratrice vit avec son mari qui n'est jamais là (il passe plus de temps au golf avec ses amis, à boire et dîner avec ses amis qu'avec son épouse) et son fils qui est un ado qui n'est jamais à la maison non plus (tennis et études). Un jour la pluie s'infiltre dans la toiture. Reiji, le mari...
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    La narratrice vit avec son mari qui n'est jamais là (il passe plus de temps au golf avec ses amis, à boire et dîner avec ses amis qu'avec son épouse) et son fils qui est un ado qui n'est jamais à la maison non plus (tennis et études). Un jour la pluie s'infiltre dans la toiture. Reiji, le mari décide de colmater mais il n'y arrive pas et ils doivent faire appel à un couvreur. C'est ainsi que le couvreur Nagase vient réparer la toiture. Le couvreur parle peu. La narratrice se sent tout de même obligée de lui faire la conversation. Peu à peu il se livre sur sa vie, on apprend qu'il est veuf et qu'il tient un carnet de rêves dans lequel il consigne tous les rêves qu'il fait la nuit. La narratrice est très intéressée par ce monde onirique, elle qui ne rêve de rien ou du moins ne s'en souvient pas. Le couvreur lui apprend à rêver et à se souvenir de ses rêves. S'en suivent alors des rêves en duo. Le couvreur lui apprend comment elle et lui peuvent se retrouver en rêve, dans un même rêve au même moment. On entre alors dans le domaine du rêve avec la narratrice qui voyage de toits en toits avec le couvreur. Elle visite les temples japonais mais fait aussi un voyage en France (toujours en rêve) dans lequel elle visite les cathédrales d'Amiens, Paris, Chartres, Reims, la Beauce et ses champs de colza.
    J'ai été un peu déçue car je pensais que le travail du couvreur occuperait tout le roman alors qu'au final le roman est surtout consacré aux rêves. ça peut être un peu long. On apprend certes beaucoup de choses sur les toitures et les constructions de nos cathédrales et des temples japonais, et puis l'écriture japonaise toute en poésie et en délicatesse est toujours très agréable à lire mais la fin tombe brutalement comme un cheveu sur la soupe. On attend autre chose.

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    Couverture du livre « Fille de joie » de Kiyoko Murata aux éditions Actes Sud

    Sevlipp sur Fille de joie de Kiyoko Murata

    Ichi est vendue par sa famille très pauvre et se trouve à 15 ans dans une maison close.
    Il y a bien sur de la pauvreté, de la dureté, l'exploitation du corps des femmes mais aussi un peu de solidarité et de la rébellion.
    C'est joliment écrit mais le rythme est lent, trop lent pour s'attacher...
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    Ichi est vendue par sa famille très pauvre et se trouve à 15 ans dans une maison close.
    Il y a bien sur de la pauvreté, de la dureté, l'exploitation du corps des femmes mais aussi un peu de solidarité et de la rébellion.
    C'est joliment écrit mais le rythme est lent, trop lent pour s'attacher aux personnage.
    Un livre instructif mais qui m'a laissé sur ma faim.

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    Couverture du livre « Fille de joie » de Kiyoko Murata aux éditions Actes Sud

    Réjane MARTEAU sur Fille de joie de Kiyoko Murata

    Comment ne pas se prendre d'affection pour la petite Ichi, vendue par son père à un tenancier de maison close à l'âge de 15 ans. Bien écrit, ce roman décrit la vie dans cette communauté très particulière du Japon. On est loin des bordels clandestins, les filles ici sont "choyées" et éduquées,...
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    Comment ne pas se prendre d'affection pour la petite Ichi, vendue par son père à un tenancier de maison close à l'âge de 15 ans. Bien écrit, ce roman décrit la vie dans cette communauté très particulière du Japon. On est loin des bordels clandestins, les filles ici sont "choyées" et éduquées, c'est ce qui leur permettra de sortir de leur condition, grâce à leur maîtresse Mlle Tetsuki, qui leur apprendra, non seulement à lire et à écrire, mais surtout à comprendre comment sortir de leur condition. Le dénouement n'est pas vraiment une surprise, on pressent au fil des pages la rébellion qui germera dans la tête de ces jeunes femmes, mais c'est un livre dont on se détache difficilement.

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    Couverture du livre « Fille de joie » de Kiyoko Murata aux éditions Actes Sud

    Magali Garnero de A LIVR'OUVERT sur Fille de joie de Kiyoko Murata

    1903 au Japon, Aio Ichi vient d'être vendue par son père à la maison Shinonome, une maison du plaisir (close) très réputée, qui propose les services de prostituées. Son périple commence par sa défloraison par le maître des lieux, puis son apprentissage du métier.

    Tous les jours elle va à...
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    1903 au Japon, Aio Ichi vient d'être vendue par son père à la maison Shinonome, une maison du plaisir (close) très réputée, qui propose les services de prostituées. Son périple commence par sa défloraison par le maître des lieux, puis son apprentissage du métier.

    Tous les jours elle va à l'école féminine où Mlle Tetsuko lui apprend, ainsi qu'à ses camarades, à lire, écrire, compter, composer des Haikus.
    Tous les soirs, elle est à la disposition des clients. Ses gains rembourseront la dette contractée par ses parents.

    Elle admire les deux oïrans, Mlle Shinonome et Mlle Murasaki, leur grâce, leur culture et leur assurance.

    C'est le quotidien de cette maison qui nous est ici conté comme savent le faire les auteurs japonais. Aucune violence et beaucoup de poésie. Du tact pour les scènes difficiles et une vision enfantine, parfois naïve, souvent lucide. Un moment de lecture très agréable.

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