"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Cette biographie de Gustave Eiffel est captivante.
Elle se lit comme un roman tant la vie de cet ingénieur illustre fut incroyable.
Bien sûr, nous savons qu'il est le père de la tour qui porte son nom mais il fut surtout un grand entrepreneur avant-gardiste.
Sa vie personnelle, amoureuse et familiale est, elle aussi, romanesque
Le livre commence alors qu'à 60 ans, il croupit en prison.
J'ai appris plein de choses sur l'homme, ses multiples réalisations, son attachement à la sécurité sur les chantiers, ses passions, sa famille et son génie.
L'écriture est agréable et précise. Le récit est dense à l'image du personnage.
Passionnant.
Ce livre devrait être lu par toutes les personnes ne comprenant pas le sens de la vie ou ayant un égo surdimensionné. Il condense un grand nombre de témoignages de personnes, connues ou anonymes, ayant frôlé la mort suite à un accident, un cancer ou une maladie. Elles racontent toutes comment elles ont réussi à surmonter le séisme que cela a provoqué dans leur vie et comment elles ont pu se récréer une vie pleine de bonheur et d'altruisme. Elles expliquent leur chemin parcouru, long et difficile, jusqu'à l'acceptation de leur état voire le deuil de leur ancienne vie.
J'ai vraiment trouvé ce livre très instructif et les personnes qui s'y racontent, plus qu'impressionnantes.
Dix minutes après l’amour… que préfèrent-ils entendre ? On remet ça, comme je t’aime ou t’es le meilleur ?
Quand j’étais ado, ma tante m’a prêté 3 Harlequin qui formaient une saga. Lorsqu’elle a voulu m’en prêter d’autres, je les ai pris et j’ai attendu un délai raisonnable pour les lui rendre… mais sans les lire. Les trois premiers suivaient toujours le même schéma avec des protagonistes trop stéréotypés, en résumé Ken et Barbie qui jouent la danse de la répulsion-attraction.
Je viens de lire mon premier chick-lit et en voici le schéma :
L’héroïne ( Marianne), trente ans et des poussières (33 pour être exacte), catégorie CSP+ minimum (rédactrice en chef d’Eva, magazine féminin) cherche le prince charmant (HIC : Homme idéal célibataire). Après avoir rencontré un potentiel prétendant cochant toutes les cases : riche, beau, intelligent, et après un long flirt, elle se rend compte qu’elle est amoureuse de son collègue, riche, beau et intelligent… ( les pauvres, moches et cons…n’ont apparement pas le droit à l’amour.)
Vous l’aurez compris, je ne suis pas conquise par ce genre littéraire ( et pourtant je suis une grande fan de Sex and the City), trop de lieux communs à mon avis. Par contre j’ai apprécié que l’auteure, Christine Kerdellant*, sème de nombreuses études scientifiques tout le long du récit. Une que je retiendrai en espérant la caser dans un dîner post-déconfinement :
« Nous avons 50% de gènes communs avec la banane. Communication officielle d’un éminent biologiste britannique, Robert May, président de la Royal Society, relevée dans Courrier International. »
(*directrice de la rédaction du Figaro Magazine à l’époque de la rédaction du livre ; aujourd’hui elle occupe le même poste chez l’Usine Nouvelle)
Tout utilisateur d'internet, tout les "connectés" devraient lire ce livre pour ne pas tomber dans la Google du loup!
On apprend beaucoup sur le fonctionnement de ce Dieu Google, et l'histoire de Big G, comme une suite au célèbre Big Brother de 1984 de Georges Orwell, fait un peu froid dans le dos!
Et surtout on apprend qu'il existe un moteur de recherche franco français QWANT qui respecte notre vie privée au lieu de la commercialiser en la donnant en pâture aux plus offrants.
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