Inspirée d’une histoire vraie, cette BD apporte des conseils et des solutions pour sortir de l'isolement
Magnifique, autant par les dessins, que l'histoire, que les recherches poussées pour aboutir à cette merveille !
Choquée par la finesse des tracés et la précision du rendu des émotions, jusque dans les tableaux peints par ARTE.
A tous les amateurs d'Arts, les passionnés d'Histoire et tous les autres, je le recommande à 100%.
J'ai débuté ma culture Mangas avec ARTE cette année, je dois dire que je cherche maintenant quelque chose s'en approchant...compliqué !
Un manga offert à ma fille pour son anniversaire. Elle l'avait lu au collège, à visualisé l'animé et en est devenue fan.
Elle m'a conseillée de le lire, ou du moins de commencer la série de 14 tomes et elle a bien fait.
Ce manga traite de ma place de la femme dans la haute société, qui doit rester à la maison pour être mariée, ne pas d'éduquer, ne pas travailler.
Une belle revanche d'Arte sur la vie et sa passion pour le dessin.
Vivement que je lise le tome 2
J’ai l’impression de me répéter quand je vous parle du graphisme de cette série. Je l’aime énormément pour la qualité des détails des œuvres d’art, de l’architecture et des vêtements, mais j’ai toujours du mal avec le traitement des visages que je trouve un peu trop caricatural. Heureusement que la qualité du reste et de l’intrigue surpasse ce défaut qui en devient de fait presque un détail…
On est toujours à Florence, en plein cœur de la Renaissance, et on suit à travers les yeux d’Arte l’évolution du monde des arts, et de la société en général, avec son machisme ordinaire… Arte continue à tracer son chemin sans se soucier de ce que pensent les gens qui l’entourent, ce qui lui réussit plutôt bien. Grâce à Véronica, elle a appris l’art de la négociation, et comment avancer dans un monde d’hommes quand on est une femme. Elle a réussi à se faire accepter par la guilde des peintres de Florence. Elle apprend à lire à une jeune couturière pour l’aider à s’extirper de sa pauvre condition.
Et ici, elle fait la connaissance d’une jeune veuve enceinte, Lusanna, qui est une amie de Léo; et qui se trouve dans une situation qui semble de prime abord désespérée. Mais c’est sans compter sur l’obstination d’Arte.
J’aime vraiment énormément son caractère, sa volonté quasiment sans faille, et le soupçon de naïveté qui lui permettent d’avancer sans se poser trop de questions. Je craignais que ses sentiments pour Léo en fassent une midinette, mais je suis ravie de voir que ça ne l’empêche nullement de faire des projets et d’avancer. La fin de ce quatrième tome est d’ailleurs la fin d’un arc narratif, et annonce un renouveau intéressant de l’intrigue.
https://leslecturesdesophieblog.wordpress.com/2018/10/21/arte-tome-4-kei-ohkubo/
L'aristocratie à l'époque de la Renaissance en Italie. Le peuple est pauvre mais l'art connaît un véritable réveil chez les artistes florentins, une apogée !
C'est au cœur de la Cité au lys rouge que grandit Arte, la jeune fille très dynamique et enthousiaste que l'on va découvrir dans cette série. Animée par sa passion qu'est le dessin, Arte se rebelle contre sa famille, sa mère surtout, qui lui reproche sa façon de vivre pour l'art et non pour les hommes et la richesse.
Elle fugue et décide alors de vivre de sa passion. En cherchant un atelier où elle pourrait devenir apprenti, elle se rend compte de l'énorme obstacle devant elle : elle est une femme, et les hommes refusent très catégoriquement de prendre une apprentie à cette époque très sexiste.
Arte trouve heureusement Léo, un homme bougon mais susceptible de trouver une place à Arte dans sa vie de peintre.
Arte est un nom loin d'être japonais, les personnages sont tous Italiens, Florentins pour être précise et en cela, le manga est assez rare. La ville de Florence se transforme en théâtre où évolue des personnages agréables à découvrir, très réalistes, comme Léo ou la courtisane. Arte a une forte personnalité et m'a très vite plu.
Très belle découverte. Je n'accrochais pas au premier abord au synopsis, mais dès que j'ai ouvert ce manga, je me suis sentie invitée à découvrir une partie de l'histoire fascinante du monde. Je pense que le côté féministe du personnage principal n'y est pas pour rien.
Dans une période telle que la Renaissance, je pensais découvrir la peinture, ce qui ne m'attirait malheureusement pas plus que cela, et une histoire d'amour peut-être. Néanmoins, le mangaka Kei Ohkubo a fait bien plus, il a transformé un combat pour l'égalité homme/femme dans un manga aux graphismes sublimes !
La documentation nous éclaire tout en nous distrayant avec une ambiance jeune et énergique, et non jeunesse. Je découvre la ville de Florence et j'adore.
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