Passionné(e) de lecture ? Inscrivez-vous gratuitement ou connectez-vous pour rejoindre la communauté et bénéficier de toutes les fonctionnalités du site !  

Jean-Claude Masson

Jean-Claude Masson
Traducteur et préfacier de nombreux ouvrages de littérature espagnole et latino-américaine, - (Thérèse d'Ávila, B. Gracián, A. Carpentier, J. Cortázar, G. García Márquez, C. Fuentes, Juan Marsé ou Homero Aridjis, entre autres), Jean-Claude Masson est l'éditeur des Œuvres poétiques d... Voir plus
Traducteur et préfacier de nombreux ouvrages de littérature espagnole et latino-américaine, - (Thérèse d'Ávila, B. Gracián, A. Carpentier, J. Cortázar, G. García Márquez, C. Fuentes, Juan Marsé ou Homero Aridjis, entre autres), Jean-Claude Masson est l'éditeur des Œuvres poétiques d'Octavio Paz dans la Bibliothèque de la Pléiade. Poète (Le Testament du printemps chez Gallimard, Les Saisons brûlées ou Le Livre d'heures du Bois d'automne, aux Éditions Garamond), il est aussi l'auteur de plusieurs essais littéraires dont Trois figures du Siècle d'or en Espagne et au Mexique (Prix Emmanuel Vossaert de l'Académie Royale de Belgique en 2015). Avec Le Septième sceau de Raymond Lulle, il nous livre le portrait biographique d'une figure éminente des lettres catalanes au Moyen Âge.

Avis sur cet auteur (1)

  • add_box
    Couverture du livre « Le testament du printemps » de Jean-Claude Masson aux éditions Gallimard

    andrea Zaragozi sur Le testament du printemps de Jean-Claude Masson

    "Le Testament du printemps est une sorte d’autobiographie. Le décor une fois dressé, qui est celui de la Wallonie, où l’auteur a vu le jour – « La terre se résigne à une juste épure, le bleu ne clame pas plus / que le vert n’exulte, la ligne consent à la brisure » - il y a la maison de l’enfance...
    Voir plus

    "Le Testament du printemps est une sorte d’autobiographie. Le décor une fois dressé, qui est celui de la Wallonie, où l’auteur a vu le jour – « La terre se résigne à une juste épure, le bleu ne clame pas plus / que le vert n’exulte, la ligne consent à la brisure » - il y a la maison de l’enfance où « le temps passait sans y penser, aussi distrait / que les nuages ». Et dans le jardin, le premier papillon - « Couleur de menthe claire, on aurait dit / deux feuilles tendres qui apprenaient à voler » -, la part du rêve." (Hector Bianciotti, "L'enfance d'un poète", Le Monde, 26 julllet 1991.

Discussions autour de cet auteur

Il n'y a pas encore de discussion sur cet auteur

Soyez le premier à en lancer une !