pas aussi formidable qu'annoncé
Myrtille est une jeune femme dynamique, sorte de feu follet née avec une tache de vin sur le visage, reine de l'imaginaire et du rêve. Sa recherche du bonheur est marquée par sa rencontre au parc Monceau avec un étrange personnage au masque d'oiseau, maître de deux inséparables, par son amour pour Angelo et enfin par un livre qui n'est pas arrivé par hasard entre ses mains (comme Myrtille n'arrivera pas par hasard non plus entre les vôtres...). Un joli conte entre Prévert et Amélie Poulain, débordant de fantaisie et de joie, hymne aux mots et aux livres, lumineux et poétique où chaque lecteur puisera son propre bonheur. Un pur plaisir !
Myrtille est un petit bijou. Une fable poétique, pétillante, fraiche et vivifiante.
Ce petit roman bourré de jeux de mots subtils, allie habilement rêve et réalité.
Il se lit d’une traite, on suit Myrtille, on aime Myrtille, Myrtille fait penser à Amélie Poulain. Elle donne envie d’aimer, quand on a fini de lire, on ferme ce livre heureux et comblé.
Myrtille est à dévorer sans modération ! Un trésor dans un écrin de douceur.
Voilà un petit livre qui cumule les points forts. L’objet est agréable, la couverture jolie. L’intrigue est pleine de poésie et de personnages qui n’existent pas dans la vraie vie, mais auxquels on s’attache comme si de rien n’était ; l’histoire d’amour entre Myrtille et Angelo, l’homme au masque d’oiseau, les inséparables dans leur cage ouvragée sont autant d’éléments qui composent une fantaisie pourtant bien ancrée dans le monde réel. Le verbe est mélodieux, les pages regorgent de mots doux qui sonnent justes.
Découverte inattendue, cette « Myrtille » se révèle être une surprise très fraîche, toute en légèreté.
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