Camilla Läeckberg s’est associée à un célèbre mentaliste de Stockholm pour écrire ce roman et c’est une belle réussite.
Un duo d’auteurs pour un duo de personnages complexes et consistants : Mina, policière phobique fréquentant les réunions des AA et Vincent mentaliste bourré de tocs vivant une situation familiale complexe.
Un thriller classique dans sa construction qui parle de magie, d’illusion .
Camilla sait raconter des histoires et les 672 pages du roman se lisent facilement.
L’autrice revient à ces premiers amours avec l’aide Henrik Fexeus, avec des personnages complexes et attachants, un excellent thriller à couper le souffle, des flash back et des rappel à sa première série de romans. Nous sommes tenu en haleine de bout en bout.
"Vincent se leva et sortit dans le hall. Il espérait vraiment que personne, parmi ceux qui l’avaient reconnu, ne travaillait pour un tabloïd. Certes, s’il avait des raisons de venir ici, être reconnu ou pas était probablement le cadet de ses soucis, comme l’avait suggéré Lena. Elle ne pouvait pas savoir qu’elle se trompait sur les raisons de sa présence."
Une nouvelle lecture de Cailla Lackberg terminée. Que dire : je suis un peu déçue. Les autres ouvrages de cette auteure m'avaient transporté, j'avais du mal à lâcher. Ici, j'ai trouvé beaucoup de longueur, beaucoup d'informations qui ne me semblent pas nécessaires.
Pour autant, les premières pages du roman nous mettent directement dans l'ambiance, le soufflet tombe au fur et à mesure de la lecture pour regonfler au trois quarts du final.
Dommage
Bof ! légère déception.
J'avais adoré certains de ses thrillers tel que "L'enfant allemand". Mais cette enquête ne m'a pas fait planer, ni donner envie de le reprendre dès que je trouvais un moment pour lire.
J'ai essayé de comprendre à quoi cela tenait. le fait que le livre ait été écrit à 4 mains ? Non, je ne le pense pas
Le fait qu'ils aient voulu jouer dans la cour des mentalistes ? Non, pas ça le problème.
Je dirais que c'est simplement un coup de mou dans la vie d'un écrivain, surfaire pour couvrir le fait qu'on est à court d'inspiration.
Le livre se laisse lire si on n'a rien d'autre sous la main et qu'on est partie en WE sans un second livre...ce que je ne ferai plus :-)
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