Passionné(e) de lecture ? Inscrivez-vous gratuitement ou connectez-vous pour rejoindre la communauté et bénéficier de toutes les fonctionnalités du site !  

Gerard Eisenberg

Gerard Eisenberg

La biographie de cet auteur n'est pas encore disponible, connectez-vous pour proposez la vôtre :

/1200

Merci d’utiliser une photo au format portrait en indiquant les copyrights éventuels si elle n’est pas libre de droits.

Nous nous réservons le droit de refuser toute biographie qui contreviendrait aux règles énoncées ci-dessus et à celles du site.

Les textes à caractère commercial ou publicitaire ne sont pas autorisés.

Avis sur cet auteur (1)

  • add_box
    Couverture du livre « Il faut bien que les hommes vivent » de Gerard Eisenberg aux éditions Le Lys Bleu

    Chantal YVENOU sur Il faut bien que les hommes vivent de Gerard Eisenberg

    Des prémisses d’un malheur annoncé à Varsovie, aux étendues quasi désertes de la Kabylie colonisée, en passant par un petit village au coeur de l’Auvergne, ou par la Sibérie, on ressent les soubresauts d’une Europe où le feu couve sous la braise, d’autant qu’en Allemagne, un petit peintre agité...
    Voir plus

    Des prémisses d’un malheur annoncé à Varsovie, aux étendues quasi désertes de la Kabylie colonisée, en passant par un petit village au coeur de l’Auvergne, ou par la Sibérie, on ressent les soubresauts d’une Europe où le feu couve sous la braise, d’autant qu’en Allemagne, un petit peintre agité et nerveux semble vouloir construire un empire aux dépens de ses voisins, et attiser la rancoeur éternelle contre les juifs.

    Les itinéraires convergent peu à peu au gré de volontés qui dépassent les décisions individuelles.

    Ces récits qui sont le reflet de ce qu’ont vécu des milliers de familles au cours de cette période agitée que fut la première moitié du vingtième siècle sont d’autant plus émouvants qu’ils s’appuient sur une histoire véritable, fut-elle romancée, celle de la famille de l’auteur. L’impact émotionnel en est augmenté car les personnages s’incarnent sous les mots et les phrases.

    Même si cette partie de notre histoire est bien documentée, on découvre certains aspects que des propos rapides auraient pu minimiser : ainsi lorsque le roman décrit ce que peut être la recherche éperdue de quelque nourriture, qui se réduit à un bouillon de trèfle, la famine devient une notion beaucoup plus concrète !

    Merci infiniment aux éditions du Lys Bleu et à l’auteur pour leur confiance

    464 pages le lys bleu 1er juin 2022

Ils ont lu cet auteur

Thèmes en lien avec Gerard Eisenberg

Discussions autour de cet auteur

Il n'y a pas encore de discussion sur cet auteur

Soyez le premier à en lancer une !