Moi, Oméga est une dystopie intelligente et mystique où le créateur du plus grand réseau social international finit par incarner le Christ ressuscité.
Les idées sont là, mais la plume qui les sert est un peu faible. On a la trame d'un grand récit sans la pâte du romancier et l'ouvrage ressemble plus aux grandes lignes d'un scénario de cinéma qu'à une œuvre de littérature. Où sont les émotions? Où sont, aussi, les personnages? On dirait que l'auteur s'est arrêté là où commence le travail de l'écrivain et c'est vraiment dommage, car il y avait matière à un récit humain et épique.
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Moi, Omega
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