80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
"S'il devait aller en prison, il le ferait. Il voulait simplement d'un procès honorable où il allait pouvoir dévoiler au monde entier à quel point Boris Slade, sa victime, était la plus grande enflure du monde."
Une cellule.
Attendre.
Fatigue.
Dix ans d'exil, voir rouge, on ne touche pas aux enfants, un crime grave, ne pas suivre le troupeau, avoir le souffle coupé, se sentir trahi, un procès, une condamnation, une thérapie, plus de dignité, un grincement aigu, un codétenu, des regards de fer, une amitié sans faille, un système pourri, un froid glacial, un son horrible, pédophilie, tourner en rond, une visite, un frère de route, attendre, une sensation de danger, racisme, le fond du gouffre, hémophilie, larmes de colère, des blocs de couleur, un nouveau travail, des insultes, une tigresse, un lourd silence, des frissons dans le dos, un regard fou, de la loyauté, un matricule, le poids des murs, des menaces, un marché, un road capitain, le cœur qui se pince, une mise à nu, une vague de chaleur, une avocate, le chaos dans la tête, le rappel à la réalité, des cendres, un impulsif baiser, des alliés, un éclat de rire...
Éradiquer des cauchemars.
Payer pour ses erreurs.
Protéger sa famille.
Être raide dingue l'un de l'autre.
J'ai été immédiatement emballée par ce spin off qui parle avec sensibilité, véracité, et intensité de certains sujets difficiles.
Je lirais avec grand plaisir les autres tomes de cette série passionnante de l’auteure Eleonora Stofferis.
Il n'y a pas encore de discussion sur cet auteur
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année