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La famille Cunningham , une famille bien compliquée qui a des comptes à régler se retrouve en pleine tempête hivernale lors d'une réunion familiale.
C'est une enquête originale. L'auteur s'adresse aux lecteurs, les fait participer, dose les indices, explique et jure qu'il ne dit que la vérité sans entourloupe
Par contre il y des morts " des meutres " le fils Ernest se voit contraint d'enquêter et déterrer le passé de cette famille au sens propre comme au sens figuré
Une histoire agréable pleine d'humour mais un peu trop bla bla bla pour mon goût.
Benjamin Stevenson nous propose une suite de son premier roman « Tous les membres de ma famille ont déjà tué quelqu'un », le tome 2 du personnage Ernest Cunningham, à qui il arrive bien des aventures encore une fois. Ernest est un auteur de roman policier et tient à suivre les règles établis de ce genre. Son créneau : raconter ce qu'il lui est arrivé en réalité (rappel : ce roman est bien évidemment une fiction). Son premier roman a bien fonctionné au sujet de sa propre famille et une certaine jalousie s'est instauré auprès de ses pairs.
Dans ce tome, il est invité à un festival littéraire qui a lieu à bord d'un train traversant l'Australie. Dès le départ, notre enquêteur révèle qu'ils étaient 7 auteurs et que seuls 5 vont survivre dont un sera arrêté.
La 4ème de couverture nous annonce un roman digne d'un roman d'Agatha Christie : on ne peut s'empêcher de penser à l'un de ses célèbres romans, reste à savoir si la résolution de l'enquête sera la même.
Avec beaucoup d'humour, comme dans son premier roman, Benjamin Stevenson surfe sur les règles établis par les auteurs des romans policiers. Des petits indices parsèment le roman : ces indices peuvent perdre le lecteur, surtout quand on s'attarde sur certains détails, comme la fameuse écharpe bleue. J'ai été focalisée sur ce détail, si bien que je n'ai pas vu d'autres détails pourtant aussi importants. Sous couvert de légèreté apparente de la narration, je défie quiconque de deviner la fin du roman. L'enquête est assez complexe. Pour ma part, je me suis laissée embarquée sans chercher réellement qui pouvait être coupable, chacun des protagonistes ayant tous un mobile pour passer à l'action.
J'ai eu une légère frayeur à la fin du roman mais l'auteur ne fait que nous surprendre jusqu'au bout. Encore une fois, j'ai beaucoup aimé ma lecture et je le recommande vivement. Idéal pour cet été, les doigts de pied dans le sable !
Je remercie les éditions Sonatine pour cette lecture et leur confiance.
Je ne suis pas vraiment lectrice de ce type de roman que je classerai dans le cosy mystery. J'ai dans l'ensemble passé un moment divertissant avec un bémol tout de même.
Une réunion de famille dans une station enneigée, des meurtres et de nombreux suspects parmi les personnes présentes.
Intrigue classique.
Le petit truc drôle c'est que le narrateur qui s'adresse directement au lecteur est un des membres de cette famille, auteur auto-publié qui écrit des livres sur « Comment écrire des livres », et qui d'entrée de jeu annonce la couleur « Tous les membres de ma famille ont déjà tué quelqu'un ».
Il va s'en suivre une intrigue un peu emberlificotée, des rebondissements à foison et bien sur le coupable ne sera pas celui que l'on croit.
C'est amusant. L'auteur redonne un coup de peps au traditionnel huis clos policier avec beaucoup d'humour. Et c'est justement ce qui a fini par me lasser un peu. A vouloir trop me faire sourire, il m'a agacé. En bref, beaucoup de choses louables dans ce roman mais à mon sens il y a un problème de dosage.
Je ne connaissais pas Ernest Cuningham, hormis son nom et le titre de son premier roman, que je n’ai pas eu le temps de lire avant de céder à la tentation de lire celui-ci ! Ne pas confondre avec Benjamin Stevenson qui est le vrai auteur !
On ne peut pas vraiment parler de spoil en lisant le second avant le premier (je suis une habituée) car avec son titre il était difficile d’imaginer qu’il n’y aurait pas de meurtres !
Meurtres aussi il va y avoir ! Mais Ernest est devant une page blanche où les mots refusent de se poser ! En son for intérieur il se dit que s’il n’y a pas de morts, il n’y a pas de mots puisqu’il est un auteur circonstanciel !
Invité à un festival du roman noir qui va se dérouler dans le train qui traverse l’Australie du nord au sud, il se retrouve en compagnie d’auteurs de polars, d’agents, d’éditeurs littéraires et d’invités !
Ernest est le narrateur, l’acteur, le spectateur mais aussi l’enquêteur des événements qui vont se dérouler dans ce train qui roule au milieu de nulle part !
Dans son rôle de narrateur il m’a beaucoup amusé avec les questions, les réponses et les commentaires sans oublier les justifications puis les supputations ! J’ai vraiment trouvé très bien et très ironique cette façon d’entamer un roman, puis de donner tous les indices qui auraient dû ou devraient nous mener vers le(s) coupable(s) !
Humour noir et autodérision, un peu de surestimation de sa personne dans l’avis des autres passagers, ont donné des moments parfois cocasses ! Tout comme son professionnalisme auto-proclamé pour avoir vécu les événements de son premier roman !
Quelques personnages un peu plus en retrait, au premier abord, d’autres antipathiques et certains attachants ! Pour ma part j’ai rapidement été dans l’impossibilité de faire confiance à qui que ce soit car Ernest, en maître du jeu, a donné beaucoup d’informations qui n’ont cessé de rebattre les cartes !
Sans être un coup de coeur, j’ai pris beaucoup de plaisir à découvrir cet auteur et sa traductrice mais encore plus leur personnage un peu looser !
#Toutlemondedanscetrainestsuspect #NetGalleyFrance
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