Envie de suspense ? Voici des romans policiers découverts et recommandés par les amateurs du genre !
Vous aimez À couteaux tirés et les romans d'Agatha Christie ? Vous allez adorer le thriller australien dont tout le monde parle !
Je redoutais cette réunion de famille des Cunningham avant même le premier meurtre.
À peine la tempête s'est-elle abattue sur notre hôtel perdu au milieu des montages que déjà la neige - et les cadavres - s'amoncelait.
Il faut dire que nous, les Cunningham, on a du mal à se supporter les uns les autres. Je crois que nous n'avons qu'une seule chose en commun : chacun de nous a déjà tué quelqu'un.
Hommage aux chefs-d'oeuvre du roman à énigme, Tous les membres de ma famille ont déjà tué quelqu'un exige du lecteur une participation active à l'enquête. Vous pensez connaître toutes les ficelles du genre ? Méfiez-vous : Benjamin Stevenson les connaît aussi. Et il vous attend de pied ferme, prêt à jouer avec vous et à déjouer toutes vos attentes. Ne boudez pas votre plaisir et joignez-vous dès maintenant à l'enquête la plus originale, sensationnelle et divertissante de l'année.
Envie de suspense ? Voici des romans policiers découverts et recommandés par les amateurs du genre !
La famille Cunningham , une famille bien compliquée qui a des comptes à régler se retrouve en pleine tempête hivernale lors d'une réunion familiale.
C'est une enquête originale. L'auteur s'adresse aux lecteurs, les fait participer, dose les indices, explique et jure qu'il ne dit que la vérité sans entourloupe
Par contre il y des morts " des meutres " le fils Ernest se voit contraint d'enquêter et déterrer le passé de cette famille au sens propre comme au sens figuré
Une histoire agréable pleine d'humour mais un peu trop bla bla bla pour mon goût.
Je ne suis pas vraiment lectrice de ce type de roman que je classerai dans le cosy mystery. J'ai dans l'ensemble passé un moment divertissant avec un bémol tout de même.
Une réunion de famille dans une station enneigée, des meurtres et de nombreux suspects parmi les personnes présentes.
Intrigue classique.
Le petit truc drôle c'est que le narrateur qui s'adresse directement au lecteur est un des membres de cette famille, auteur auto-publié qui écrit des livres sur « Comment écrire des livres », et qui d'entrée de jeu annonce la couleur « Tous les membres de ma famille ont déjà tué quelqu'un ».
Il va s'en suivre une intrigue un peu emberlificotée, des rebondissements à foison et bien sur le coupable ne sera pas celui que l'on croit.
C'est amusant. L'auteur redonne un coup de peps au traditionnel huis clos policier avec beaucoup d'humour. Et c'est justement ce qui a fini par me lasser un peu. A vouloir trop me faire sourire, il m'a agacé. En bref, beaucoup de choses louables dans ce roman mais à mon sens il y a un problème de dosage.
J’ai lu ce roman dans le cadre de la masse critique spéciale « Lectures d’été ». A peine après avoir commencé le roman, j’ai découvert l’humour de l’auteur et je me voyais déjà sous un parasol, sur une plage, les doigts de pied en éventail, à lire ce roman de détente. Pile ce qu’il nous faut pour nous poser un peu, entre deux plongeons salés.
Mais rapidement, je me suis rendue compte que l’essentiel du roman se déroule en un huis clos dans un hôtel, reprenant tous les codes du chalet montagnard classique, en plein hiver, sous la neige et pour renforcer l’aspect huis clos, une belle tempête de neige. Non, vraiment, ce roman est idéal pour cet été, entre deux canicules, vous trouverez de quoi vous rafraîchir en le lisant.
L’histoire, en quelques mots : la famille Cunningham, dont le narrateur Ernest, fait lui-même partie, se retrouve dans ce chalet pour un week-end, pour célébrer le retour de l’un d’entre eux après une longue absence. On assiste à une discussion familiale où on cerne, à peu près, les relations les uns avec les autres et, ce, pour bien appréhender l’histoire familiale et ce qu’il se joue au cours de ce week-end. Mais des sous-entendus nous perdent un peu au cours du premier repas familial Le retour de cette personne va changer beaucoup de choses et des secrets enfouis depuis longtemps vont ressurgir, notamment après le meurtre de l’un d’eux.
Beaucoup d’humour donc, dès le départ : rien qu’en lisant le titre, on s’en fait déjà une vague idée. Il ne faut pas s’y tromper non plus car sous couvert d’humour, le lecteur est plongé dans une enquête un chouïa complexe, après le meurtre de l’un des protagonistes de la famille, qui comme le nom l’indique, ont tous déjà tués quelqu’un.
Cette enquête n’est pas si simple que cela puisqu’elle porte notamment sur le passé de cette famille. Le narrateur raconte qui, comment et pourquoi les membres de sa famille ont déjà tué au travers de parties du livre, portant le nom de chaque membre. Chaque partie est consacrée à un des personnages, et on découvre à quelle occasion ils se sont tous retrouvés à tuer quelqu’un. Le nous raconte le week-end au cours duquel ils se sont tous retrouvés bloqués dans ce chalet. On soupçonne à peu près tout le monde et en même temps, avec un titre pareil, c’est bien l’effet recherché. Avec des phrases bien choisies tout au long du roman, le narrateur nous donne des indices, jusqu’à la révélation finale.
Ce roman est un roman complet dans le sens où le lecteur retrouvera de l’humour, une enquête et surtout des relations très fortes entre les différents membres de la famille. Ils vont tous beaucoup apprendre de leur week-end, en passant par de douloureuses étapes. Même dans les scènes un peu lourdes émotionnellement, le narrateur arrive à prendre de la distance avec de l’humour, qui sort un peu de nulle part. Le narrateur y est d’ailleurs attachant : malgré tout ce qu’il endure, il reste droit dans ses bottes, accuse les coups et essaye de faire avancer sa famille dans le bon sens.
Ce qui m’a parfois surprise, voire parfois dérangée, c’est que, toujours sur le ton de l’humour l’auteur nous spoile la suite mais c’est souvent pour nous fait sourire, non seulement au moment du spoil en lui-même mais au moment des rebondissements attendus : souvent au final, ce n’était pas des indices importants, ce qui fait que le lecteur est quand même. L’auteur, Benjamin Stevenson, est un stand-upper australien : généralement, les humoristes aiment bien le comique de répétition : rappeler une blague à un autre moment du spectacle pour avoir comme un lien de proximité avec ses spectateurs : ça tourne parfois à l’absurde mais c’est souvent bien trouvé. Dans ce roman, on est comme dans un spectacle où le narrateur nous parle directement, pour remettre le contexte et s’expliquer lui-même sur ses actions dans cette histoire. C’est très drôle.
La quatrième de couverture évoque ce roman comme inspiré des romans d’Agatha Christie : on est en plein dedans. Le narrateur de l’histoire est d’ailleurs un écrivain qui écrit essentiellement des guides destinés à des auteurs de polars, en leur donnant des conseils en tout genre. Il se démène tout au long de son récit pour nous expliquer en quoi il tente de suivre ses propres conseils et combien c’est difficile pour lui. La révélation finale se déroule d’ailleurs dans la bibliothèque, pour suivre le code du polar classique.
En bref, je maintiens que ce roman peut parfaitement vous plaire cet été : c’est un roman à suspense, avec des secrets de famille, un roman addictif, qui se lit vite et bien, avec un narrateur plein de ressources et d’humour et en attente d’amour aussi, … L’enquête en elle-même est parfois complexe à suivre, il faut s’accrocher de temps en temps. De quoi ravir autant les amateurs de page-turner que les lecteurs réguliers d’enquête policière.
Je dois dire que pour ce livre, c’est le titre qui m’a interpellé !
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Ici, on se retrouve en plein cœur d’une réunion de famille, mais pas n’importe quelle famille, la famille Cunningham et je dois dire que c’est une famille avec laquelle je ne partirais pas en vacances !
Ernest Cunningham rejoint sa famille dans un petit hôtel d’un domaine skiable australien. Des retrouvailles un peu spéciales puisque tous sont là pour accueillir Michaël, le frère d’Ernest, qui vient de passer trois ans en prison. Mais là où la famille Cunningham passe, on peut compter sur des morts suspectes. Et cela ne va pas manquer ! Alors qu’une tempête de neige bloque les clients de l’hôtel, les événements prennent une tournure dramatique.
Ce livre est un pur divertissement. L’auteur s’amuse avec les codes du roman “à la Agatha Christie” dans un récit qui met en scène une famille atypique et pour le moins étrange. Car oui, tous les membres ont un mort à leur actif, mais ce ne sont évidemment pas tous des tueurs froids et calculateurs ! Les choses sont bien plus complexes et c’est Ernest Cunningham qui va nous les raconter.
Le métier d’Ernest est d’écrire des livres pour donner des conseils sur... la manière d’écrire des livres et notamment des polars. En appliquant des règles précises telles qu’on peut les voir chez Christie donc ou chez Conan Doyle et qui nous sont indiquées dès l’ouverture du roman.
Ernest, le narrateur, n’aura ensuite de cesse que de prendre le lecteur à témoin, voire de le rendre complice des différents événements qui vont avoir lieu. Et c’est sans doute en cela que la lecture est la plus amusante. D’autant que l’auteur ne manque pas d’humour !
Car pour ce qui est de l’intrigue, on reste sur quelque chose d’assez classique : un groupe de personnes retenues par une météo hostile dans un lieu clos et une série de meurtres dont chacune d’entre elles pourrait être l’auteur. Des fausses pistes, des pièges, des personnalités et des secrets qui se révèlent, des rebondissements. Rien qui n’ait déjà été éprouvé avec succès.
C’est donc plutôt le côté analyse du genre, le récit qui s’amuse à démonter les mécanismes tout en les mettant en œuvre qui apporte ce côté original et très ludique. Un peu comme de se retrouver dans un jeu de rôle. Et finalement, le but n’est plus tant de savoir qui est l’auteur des meurtres et pourquoi, que de comprendre comment est ficelée l’intrigue et comment s’enchaînent les événements pour construire un suspens qui tient la route.
Une lecture parfaite pour se détendre.
Le premier mot qui me vient en tête pour décrire ce roman est : atypique !
Et pour cause, Ernest, un écrivain qui s'est spécialisé dans l'aide à l'écriture de romans policiers auprès d'autres auteurs, va nous offrir un portrait de chacun des membres de la famille de manière très originale car ceux-ci ont la particularité d'avoir tous au moins tué quelqu'un au cours de leur existence.
Lors d'une réunion réunissant tous les membres de la tribu Cunningham, un nouveau cadavre va faire son apparition. Qui est-il ? Pourquoi est-il mort ? Comment ? Qui est à l'origine de cette nouvelle tragédie ? Dès lors Ernest va se prêter au jeu de l'enquête car, "comme diraient certains : " Nous savons tous les deux que c'est un problème de Cunningham. Apporté ici par des Cunningham et ... commis par des Cunningham". "
Benjamin Stevenson, avec ce premier roman traduit en français nous offre une partie de Cluedo grandeur nature où les règles sont fixées par un Ernest soucieux du détail (même si parfois cette qualité est un peu poussée à l'extrême). J'ai apprécié découvrir la plume de l'auteur australien pleine d'humour et de malice même si à plusieurs reprises j'ai eu tendance à décrocher car la lecture de ce roman demande une certaine concentration.
Malgré cette impression, je tiens à féliciter Benjamin Stevenson pour l'originalité de son ouvrage, style que je n'avais jamais lu jusqu'à présent et qui vaut le coup d'être découvert...
Je tiens à remercier les Éditions Sonatine et Netgalley France pour ce moment de lecture assez singulier et unique en son genre.
Australie, 21ème siècle. Alors qu'Ernest Cunningham, le narrateur, est convié à une réunion de famille dans le froid glacial d'une station de ski, un homme est retrouvé mort asphyxié. Ce destin tragique va déclencher des règlements de comptes familiaux sur fond d'investigation policière.
Le titre est accrocheur c'est d'ailleurs cela qui m'a poussé à acheter le roman. Il promet une enquête au cœur d'une famille qu'on s'imagine atypique et on pressent l'humour noir qui peut en découler.
Tout au long des chapitres, Benjamin Stevenson discute avec le lecteur, le fait participer en l'interpellant et en l'incluant dans l'enquête grâce au choix d'un narrateur intradiégétique et d'une narration à la première personne. J'ai apprécié ce jeu d'énigme entre l'auteur et le lecteur, cela apporte du dynamisme et une franche complicité qui se mêlent efficacement à sa fluide écriture. Je découvre un écrivain espiègle et j'apprécie énormément.
Ce huis clos tient la route même si j'ai trouvé certains passages irréels ou certaines parties pas forcément en adéquation avec l'intitulé du chapitre. Les personnages ont un caractère bien spécifique ce qui les différencie les uns des autres et permet de situer leur place dans l'histoire. Chacun apporte sa pierre à l'édifice de l'enquête et est susceptible d'être le coupable (bien qu'ils soient déjà tous coupables, rappelez-vous du titre!). Mais le nom « coupable » est subjectif, ne sommes-nous pas coupables aux yeux des uns mais pas aux yeux d'autres? Peut-on parler de culpabilité en toute circonstance? C'est ce que ce roman nous propose en mêlant des indices ici et là avec la voix d'un narrateur à l'humour affûté qui se retrouve au cœur de situations cocassement dramatiques.
Une belle surprise. La famille Cunningham, dont le narrateur Ernest, est tristement célèbre en Australie car liée à des histoires de meurtres. Le point de départ de l'intrigue est une réunion de famille, dans un chalet à la montagne, pour célébrer le retour de l'un d'entre eux, suite à une longue absence. D'emblée, les tensions et rancœurs sont vives... ce que la tempête qui arrive, les nombreux secrets enfouis et un premier meurtre ne vont pas arranger !
Après un début un peu long et vite pardonné à l'auteur, cet huit clos prend de l'ampleur, avec des rebondissements en cascade et des secrets qui se dévoilent peu à peu. J'ai adoré le parallèle permanent entre l'histoire et les réflexions du narrateur. Ernest, en effet, n'est pas juste le vilain petit canard de la famille, il est aussi l'auteur de guides, à 1,99 euros sur Amazon, destinés à des auteurs de polars en herbe. Il se démène tout au long de son récit pour nous expliquer en quoi il tente de suivre ses propres conseils et combien c'est difficile pour lui. La révélation finale se déroule d'ailleurs dans la bibliothèque, pour suivre le code du polar classique. Tout au long du récit, qui s'avère être le roman des événements en cours d'écriture, il tente d'appliquer ses propres conseils, jusqu'à faire la révélation finale dans la bibliothèque. L'humour omniprésent, le jeu constant entre le narrateur qui dialogue avec le lecteur, et ses nombreux spoilers, rendent cette intrigue complexe très agréable à lire.
J'ai lu que les droits de ce thriller ont été acheté par HBO pour une adaptation série. J'ai hâte de voir le résultat ! Ce polar me fait penser à un mélange entre Agatha Christie et A couteaux tirés ! J'espère lire beaucoup d'autres romans de Benjamin Stevenson.
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