"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
"Satanés humains. C'était bien dommage qu'ils ne puissent pas tous les dévorer."
Parc commémoratif.
Une stèle.
École de police.
Bennett, une ville d'une importance capitale pour les humains et Terra Indigene.
Une nouvelle communauté, dure réalité, vive agitation, sensation de vertige, dissonance, redoutable prédateur, étroit ruisseau, joie perverse, courir à perdre haleine, les griffes et les crocs, vibration profonde, geignement de détresse, pâleur de cire, morsure verbale, un équilibre.
"Crin de toupet !"
Ce deuxième tome est comme le premier tome à savoir sensible, romanesque, original, avec une pointe d'humour.
Livre lu pendant le mois de Maius!
« J'étais impatiente de voir la réaction du policier quand il comprendrait qu'il lui fallait interroger une terra indigène. »
Un cadavre.
Un cri aigu.
Micro-ondes.
Les espaces sauvages, rire hystérique, une affaire sérieuse, de belles paroles, une crise de panique, garder le secret sur sa nature, choisir ses alliés, du sang dans l'herbe, le souffle qui manque, les investigations, s'humaniser, des relents d'ordure et de vermine, des pressentiments lugubres, une odeur de cendres, un carnassier sourire.
Ce premier tome a été lu un ventdi.
"Par tous les dieux rieurs ! ", comme j'adore cette auteure !
« C'est mauvais ? demanda la grande araigne dorée de sa voix douce.
Oui, c'est mauvais. Une guerre s'annonce. Une guerre entre les royaumes. »
« Tant de morts. Tant de souffrance et de chagrin. Une souillure rampante salissait ceux qui restaient. »
Grande prêtresse du Territoire.
Matinée radieuse.
Bâche rugueuse.
Secret.
Jeux de pouvoir et de perversité, velours rouge foncé, piège, fragilité intérieure, chagrin, clapotis de la fontaine, colère, destruction, cheveux dorés, larmes, loyauté, souillure, calice de cristal, tristesse, joie féroce, sequins colorés, souffrance, le parfum des cheveux, champ de bataille, la voix de la toile, douceur trompeuse, gouttes de pluie, baiser désespéré, amis secrets, sanctuaire.
J'ai dévoré ce troisième tome, qui m'a emportée dans une envolée d'émotions avec l'esprit nourrit dans les Ténèbres, la belle, terrifiante et merveilleuse Reine Jaenelle Angélique de la Cour Sombre d' Ébénasky.
"Tellement de sang. Trop de sang. Le sang était la rivière de la vie, et le fil psychique."
Conseil obscur.
Tutelle d'une enfant.
Verdict.
Une fille de cœur, un mythe vivant, une Sorcière, une jeune fille puissante, rebelle et vulnérable.
Un Prince de Guerre dangereux mais blessé affectivement, mentalement et dont la tête est mise à prix.
Ce deuxième tome fascinant est noir comme une nuit sans lune.
Il emprunte des chemins dévastés, désolés, lugubres, terrifiants, obscurs, avec des secrets et des ombres, et des chemins de tourbillons d'étoiles, de sourire doux, de mélopées magiques, de secret chéri et de rires veloutés qui embaument le parfum des fleurs sauvages.
J'adore follement cette auteure et ses histoires oniriques, fantastiques et originales.
Les personnages des deux Princes de Guerre Lucivar et Daimon, et les liens qu'ils ont avec Jaenelle sont captivants.
"Douce Ténèbre, s'il te plaît, fait qu'il y a un après !"
On m’a entendu, puisqu'il y a un tome trois !
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