80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Je pensais retrouver les personnages du volume précédent mais la seule chose commune est la terre d’Ogon !
La tribu des Blancs-Visages est dominée par celle des Dents-Limées à qui elle sert de garde-manger ! Itomë, jeune fille Blanc-Visage, veut sauver son frère et trouve un masque-sorcier qui va lui donner des pouvoirs immenses ! Elle est bannie de sa tribu pour avoir refusé de se plier aux coutumes d’obéissance et utilisé la magie pour arriver à ses fins. Elle parcourt les terres d’Ogon tout en se débattant avec l’esprit malfaisant qui habite le masque. Les mauvaises rencontrent sont nombreuses mais certaines sont de bon augure !
J’aime beaucoup le dessin de l’environnement qui dégage de la magie, du danger tout autant que d’agressivité et ça participe à l’ambiance de l’aventure d’Itomë. Les guerriers, stylisés à grands traits de couleurs, sont repoussants et effrayants à souhait.
Pour le scénario j’ai regretté que l’histoire commence en pleine course poursuite sans avoir une idée de la raison pour laquelle Itomë se sauvait devant les Dents-Limées, j’ai même eu l’impression d’avoir loupé des pages. La quête m’a semblé moins sérieuse ou moins structurée que celle du précédent tome, avec sa rencontre d'un jeune Dent-Limée et leur relation qui tourne à l’histoire d’amour, appuyée par des tentatives d’humour incongrues, le tout m'ayant laissée quelque peu dubitative !
Il ne faut pas craindre de se perdre dans les dessins car il y a plein de détails, invisibles au premier coup d’oeil, qui raconte aussi une histoire des terres d’Ogon et dans laquelle j’ai aimé me plonger !
#TerresdOgon02 #NetGalleyFrance
Il n'y a pas encore de discussion sur cet auteur
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", nous explique Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année