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S'il convient de comprendre l’objet de cet essai d’après son titre bien évidemment, il faut néanmoins entendre le mot « environnement » dans le sens large de « ce qui environne l’humain », soit : l’animal, le végétal, le minéral (en moindre quantité, si l’on excepte « l’aspect minéral » des villes (béton, verre, acier…)).
Car l’auteur se positionne très largement dans une opposition entre le monde urbain et le domaine rural, dans une modernité (ou post-modernité) qui les opposent également et de plus en plus.
Le discours d’argumentation d’Alain Suberchicot est composé de périodes complexes dans une langue contournée et érudite qui impacte sensiblement la lisibilité, mais démontre une vaste culture et une analyse pointue.
En tant que professeur d’études américaines, l’auteur fonde son analyse sur de nombreux textes de provenance outre-Atlantique (berceau de la littérature d’environnement / environnementale / à motif écologique par ailleurs) auxquels des auteurs français et chinois sont mis en vis-à-vis. C’est un texte que se conçoit effectivement comme une écocritique comparée. D’où le sous-titre.
Le schème principal se situe plus précisément dans une écocritique politique (ou éco-politique), voire sociopolitique, structurant notre façon d’habiter le lieu où nous sommes. Pour cela, LITTÉRATURE ET ENVIRONNEMENT. Pour une écocritique comparée soulève de multiples points de réflexion.
Ce Livre a été ajouté à ma liste « Œuvres de non fiction d'ordre végétal ». Il fait partie de ma réflexion sur le végétal. anne.vacquant.free.fr/av/
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