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Jeune, mais déjà auteur d'une oeuvre très conséquente, Yvann Alexandre est un chorégraphe de l'errance, élégante et désabusée. Ses danseurs semblent flâner avec détachement sur un plateau tenu pour un étrange endroit de rencontre. Ils s'y croisent, ne semblent pas vraiment s'y rencontrer et pourtant ne sont jamais vraiment seuls. D'ailleurs, Yvann Alexandre s'abandonne très peu à l'exercice - pourtant fréquent dans le monde de la danse contemporaine - du solo. Or, cette année, avec « Les Soli Noirs », ce chorégraphe au ton singulier aborde cette forme du solo, et même par cinq fois dans une oeuvre qui est à la fois le résumé de ses obsessions autant qu'une ouverture vers des horizons nouveaux.
C'est l'occasion d'interroger ce que signifie cette solitude singulière du chorégraphe en demandant à l'écrivain Stéphane Bouquet, au plasticien Olivier de Sagazan et à plusieurs personnalités du monde de la danse d'aujourd'hui de s'y pencher.
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